Narcotrafic
Narcotrafic et mexicanisation étaient les maîtres mots du week-end. Emmanuel Macron vit, en arrivant à l’Elysée, le narcotrafic comme un moyen pour une catégorie d’enfants d’immigrés maghrébins qui refusent de travailler à l’école de la république, de gagner de l’argent. Il crut faire émerger une classe sociale nouvelle en France plus facilement intégrable grâce à ses revenus confortables. Encore une faute terrible.
Emmanuel Macron envisage l’argent comme un facteur de lien social… ou de paix sociale, ça lui suffit, après il simule. Pour cet homme sans qualité, la culture n’est rien, l’épaisseur du portefeuille tout. Ne voyant pas plus loin que le bout de son nez, il ne comprit pas le caractère totalement déstabilisant pour l’ensemble d’un pays d’avoir en son sein un milieu foncièrement mauvais et criminel.
Non seulement ces dealers de drogue n’ont culturellement rien de commun avec la France qui les accueille ou a accueilli leurs parents, mais légalement ils sont systématiquement en marge des lois. Macron ne voit dans la drogue qu’une substance récréative ou stimulante ou apaisante. La lobotomisation des esprits qu’elle engendre ne le touche pas. Il s’en fout.
Au Mexique ou en Colombie, les mafieux ont la même culture que les autres habitants. Ce sont des mexicains ou des colombiens qui sont hors la loi. Il peut exister des passerelles. Il en existe d’ailleurs et elles permettent de faire que ces pays ne s’autodétruisent pas.
Chez nous ce sont des gens culturellement très différents qui se servent de l’immigrationnisme compulsif des dirigeants pour vaquer à leurs crimes. On ne les canalisera jamais parce que la France n’est pour eux qu’un terrain de jeu. Il n’y a rien de charnel entre la France et eux. Ils détruiront la jeunesse de France sans remords. Ils le feront de pays étrangers avec des réseaux islamiques installés sur notre sol.
L’immigration est responsable de tous les problèmes. La criminalité, l’insécurité, la baisse du niveau scolaire, la faiblesse du PIB par habitant, le chômage, la faiblesse des salaires viennent de l’immigration incontrôlée. Le trafic de drogue n’est qu’un avatar de plus.
Frédéric Le Quer
Narcotrafic et mexicanisation étaient les maîtres mots du week-end. Emmanuel Macron vit, en arrivant à l’Elysée, le narcotrafic comme un moyen pour une catégorie d’enfants d’immigrés maghrébins qui refusent de travailler à l’école de la république, de gagner de l’argent. Il crut faire émerger une classe sociale nouvelle en France plus facilement intégrable grâce à ses revenus confortables. Encore une…





