Vous avez dit guerre ?

Lorsqu’on voit la vidéo de la fête de la musique organisée à l’Elysée, on se dit que tous ces people, artistes et politiques, ne sont guère inquiets de la guerre au proche orient. « ça rit, ça danse, ça pouffe de rire : c’est la fiesta ». Lorsqu’on voit les scènes de fureur dans les rues partout en France pendant la fête de la musique, on se dit que la population est victime d’une submersion migratoire qui transforme tout en barbarie et impose simultanément la violence particulièrement envers les femmes, la destruction des édifices publics, privés, commerciaux, la crasse dans les rues.

Les ploutocrates s’éclatent sur les ruines de notre pays mais ne manquent surtout pas de faire peur au peuple pour qu’il se tienne à part. Ils manipulent les foules pour poursuivre et accentuer l’insensé grand remplacement commencé il y a quarante ans dont profite une classe d’apatrides sans foi ni loi. Vous avez aimé l’Ukraine, vous adorerez l’Iran. Et puis ce sera au tour du Pakistan, de Taiwan et que sais-je encore… Il s’agit toujours de simuler une guerre soi-disant existentielle aux frontières pour soumettre la population. Des défaites, des victoires, Jean qui rit, Jean qui pleure et tout le monde est tenu en respect, en laisse. Les petits peuvent bien se battre entre eux, l’important est que les dominants restent bien protégés du reste de la société.

Les gilets jaunes s’étaient trop approchés du pouvoir, des strasses et des lumières. Battus, éborgnés, tués, ils ont perdu la guerre civile. Les causes de leur révolte sont toujours là, ont même empiré mais dorénavant l’état prend garde, désinforme, tait, effraie afin que les masses regardent ailleurs, vers Kiev, Tel-Aviv, Téhéran, soit à des milliers et des milliers de kilomètres.

Inutile d’aller chercher bien loin des drames, des atrocités, des belligérants, des extinctions de peuple. Tout ça se passe en bas de chez nous, dans nos villes et nos villages. Il est temps de revoir les priorités. Et notre priorité, c’est la France.

Frédéric Le Quer

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