
Des femmes qui pleurent
Des femmes qui pleurent nous bouleversent toujours. Les hommes créent rarement ce sentiment d’empathie. Ce n’est pas leur rôle. La puissance des femmes est à la fois dans le rire – tout homme est toujours flatté de faire rire une femme – et dans les larmes.
Coup sur coup les médias ont montré Erika, la veuve de Charlie Kirk, puis, sur CNews, la mère de Philippine incapables de camoufler leur souffrance. Elles l’ont partagée avec tous les inconnus qui les observaient. Seuls les barbares n’ont pas été émus.
Et des barbares, il y en a de plus en plus. Ils correspondent aux immigrationnistes de nos jours. Pendant la chute de l’empire romain d’occident, ils fomentaient des invasions exterminant les gens sur leur passage. Ils sont toujours aussi horribles et maléfiques. Il a fallu mille ans pour que l’Europe se remette des invasion barbares du Ve Siècle après JC. Combien de temps faudra-t-il pour qu’une société apaisée revoie le jour actuellement?
Un homme américain souverainiste est abattu et les médias immigrationnistes jugent qu’il est responsable de sa mort. Il n’aurait pas dû penser ce qu’il pensait et surtout il aurait dû se taire. Une jeune fille est massacrée par un migrant et le silence assourdissant des médias immigrationnistes crève les tympans des honnêtes gens.
La seule réponse est celle des femmes qui pleurent leurs morts. Elle prend aux tripes. Les salauds sont démunis. Reductio ad hitlerum : c’est tout ce qu’ils ont trouvé. L’argument est piteux. Les femmes sont l’avenir de l’homme.
Frédéric Le Quer
Des femmes qui pleurent nous bouleversent toujours. Les hommes créent rarement ce sentiment d’empathie. Ce n’est pas leur rôle. La puissance des femmes est à la fois dans le rire – tout homme est toujours flatté de faire rire une femme – et dans les larmes. Coup sur coup les médias ont montré Erika, la veuve de Charlie Kirk, puis,…