Pays de fous
Mais dans quel état est ce pays de fous? La visite du président américain bloque des jours durant toute la vie économique de la capitale; toutes les grandes artères sont interdites à la circulation. Pour l’anniversaire des 80 ans du débarquement Emmanuel Macron qui passe en revue des soldats, porte sous sa chemise un gilet pare-balles. Les images sont flagrantes.
Ainsi les risques d’attentat sont si élevés que les grands de ce monde tremblent de mettre un pied en France et demandent des précautions hallucinantes au mépris du droit de circulation des citoyens. Leurs Jeux Olympiques commencent déjà à empêcher la population de vaquer à ses occupations afin de sécuriser une surface immense des semaines à l’avance.
Un état déjà financièrement exsangue est dirigé par une équipe de pieds nickelés qui nuisent sciemment à la croissance économique. Que de corps de métiers renoncent à entrer dans Paris! Que d’entreprises perdent ainsi de l’argent!
Des cérémonies grandioses, des épreuves sportives au retentissement mondial tentent ainsi de camoufler l’état de décomposition du pays. Nos dirigeants dépensent à coup de milliards pour pouvoir faire semblant d’être en capacité de le faire. Ils ne trompent personne à part eux-mêmes. On se croirait dans l’ancien régime où des paysans taillables à merci permettaient aux nobles de se goberger sur leur dos au cours de réceptions somptueuses.
Et comme si ce n’était pas suffisant, le Néron de l’Elysée cherche à faire tuer de jeunes français dans une guerre entre slaves à des milliers de kilomètres des frontières françaises. Ils jouent les chefs de guerre, nous seront réduits en charpie.
Le petit peuple casquera des décennies les dingueries du macronisme. Ils bâfrent, nous pleurons sur nos fins de mois.
Pire, tout est fait pour que peuple se prenne les prochains attentats islamistes pendant qu’une classe sociale dirigeante restera planquée pour regarder les jeux du cirque derrière des cordons de sécurité infranchissables . Ils sont en train d’être installés. Ils se distraient, nous en crèverons.
On vit dans un pays de fous ravagé par des migrants à tout point de vue et pillé par une classe dirigeante inconséquente.
Frédéric Le Quer
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