Les salauds
Après la décision du conseil constitutionnel, l’immigration illégale va devenir en partie légale. Les sans papiers auront maintenant des papiers pour écraser, voler, violer, dealer. Leurs droits s’amplifient. Les nôtres s’amenuisent. On est de la chair à canon. Les salauds au gouvernement ou les pourris au sein de juridictions antidémocratiques sont à la manœuvre. « On contrôle certainement mieux les agriculteurs que les sans-papiers, on est même contrôlés par satellites ! Ils feraient mieux de s’occuper d’eux. » Ceci est le constat d’un agriculteur en colère.
Il faut débusquer tous ces décideurs, partout les virer, les emprisonner, les massacrer. Les mots ne suffisent pas pour ces salauds qui détruisent la France, ces salauds qui préfèrent les étrangers aux français, ces salauds qui nous détestent. On est gouvernés par des chiens et l’opposition parlementaire est faite de gros cons. Comme on voudrait être capable de la violence de Céline! C’est la même haine. La même révolte. La plus grande abomination de la Ve république vient d’avoir lieu sous nos yeux. 80% des français réclament moins d’immigration. Les dirigeants leur crachent à la gueule, se rient de la volonté populaire. De l’immigration, ils en auront plus. Bien plus. Plus jusqu’à temps qu’on n’existe plus. On est des indiens, des Navajos repoussés dans des réserves de plus en plus étroites. L’envahisseur a tous les droits, aidé en cela par la cinquième colonne au pouvoir, tous ces traîtres souvent payés par le Qatar et vendus à l’islamisation généralisée.
Le conseil constitutionnel et l’article 49.3 brisent politiquement le peuple français. On est à genou pendant qu’ils nous piétinent. Le peuple est de la merde. Il est balayé dans les égouts de l’histoire. Le pouvoir est là pour le liquider. Les français sont des veaux. Se laissent faire. Ils n’osent même plus relever la tête et sont comme les moutons de Panurge à suivre celui qui les conduit vers la mort. La mort, collectivement, on y est. Le temps est l’ennemi de ceux qui se sentent disparaître. On n’a plus de temps. Les salauds nous grillaient déjà à petit feu. Ils se sentent fort et accélèrent. L’aversion et l’horreur que les français ressentent ce matin n’a d’égal que l’indifférence qu’éprouve leurs ennemis vis à vis d’eux, surs de leur victoire, fiers de leurs saloperies. La peur doit changer de camp.
Frédéric Le Quer
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