Le 14 juillet 2023

Le 14 juillet 2023 représente un tournant dans l’identité française. De nombreuses villes en France n’oseront ni le feu d’artifice, ni le bal populaire par peur d’une partie des habitants en « régression vers leurs origines ethniques », pour reprendre une expression de Bruno Retailleau. Cette régression de la part de jeunes de la deuxième, troisième ou quatrième génération d’immigrés les amènent à haïr ce qui est français et batailler violemment chaque année, la nuit de la Saint Sylvestre, par exemple, et le jour de la fête nationale.

A l’évidence, fêter le 14 juillet sera bientôt comme fêter Jeanne d’Arc, une intolérable provocation d’extrême droite envers les communautés étrangères installées sur notre sol. Les mairies se dégonfleront les unes après les autres pour ne pas heurter les français de papiers. ça commence. Jacques Chirac voulait voir dans un discours de 2005 intervenant à la suite des émeutes urbaines de cette année-là, que des « filles et fils de la république » dans les banlieues d’immigrés. Il avait la vue basse. Il eut fallu pour cela le respect des valeurs républicaines qu’ils n’avaient pas. Il existe même de nos jours un acharnement pour les combattre.

Ce 14 juillet 2023, des soldats armés déployés dans les grandes villes de France ne défileront pas mais tenteront d’assurer la sécurité sur la voix publique avec les policiers. L’armement de l’ennemi se limite encore en grande partie à des mortiers d’artifice venus d’Allemagne. Les armes à feu sont rares, mais pour combien de temps encore? L’ennemi ne cherche qu’à détruire les bâtiments publics symboles de la république ou à piller les commerces. Combien de temps faudra-t-il pour qu’il s’attaque aux appartements et aux maisons des particuliers? Le maire de L’Haÿ-les-Roses et quelques policiers agressés chez eux ne sont encore que des précurseurs. Beaucoup de citoyens en sont conscients. Passer le permis de chasse devient un must pour pouvoir s’équiper d’un fusil pour se défendre sans jamais aller chasser.

« Il fait beau, les gens sont un peu désœuvrés ». BFM trouve par ces mots le moyen d’exprimer sa crainte du retour des émeutes dans 3 et 4 jours. Elisabeth Borne et son gouvernement se disent « très mobilisés ». Le président y voit un « moment à risque ». Bref, l’état fait dans son froc. La prochaine fois il baissera son pantalon et la fête nationale du 14 juillet disparaîtra car trop française.

Frédéric Le Quer

Le 14 juillet 2023 représente un tournant dans l’identité française. De nombreuses villes en France n’oseront ni le feu d’artifice, ni le bal populaire par peur d’une partie des habitants en « régression vers leurs origines ethniques », pour reprendre une expression de Bruno Retailleau. Cette régression de la part de jeunes de la deuxième, troisième ou quatrième génération d’immigrés les amènent…

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