Peine de mort
Le sujet de la peine de mort était hier traitée sur LCI avec Henri Guaino et Jean-Michel Apathie (!) et un peu sur CNews avec Goldnadel. A chaque fois, chez chacun, la dégoulinante bonne conscience des bien-pensants s’était tue. En effet, la remise en question de l’abrogation de la peine capitale ne se retrouve plus seulement dans les discussions de comptoir entre gueux ignares, mais les « sachants » s’y mettent aussi.
L’horreur des crimes qui défraient chaque jour la chronique, laisse pantois même beaucoup des plus soumis à l’invasion migratoire. Les personnes intégrées blanches, bien sûr, mais aussi, plus rarement, noires, comme on vient de le voir avec la mort de ce jeune homme d’origine haïtienne, sont toutes potentiellement des victimes des sauvages venus du tiers monde qui haïssent l’occident. Ils sont parfois retrouvés par la police mais la justice les regardent avec les yeux de Chimène. Cette institution est passionnée par la racaille. Elle leur trouve des excuses à tout. D’ailleurs l’adage « nul n’est sensé ignorer la loi » est complètement obsolète depuis que les avocats plaident avec succès que le fait d’avoir des mœurs d’origine différentes des nôtres est une circonstance atténuante!
Face aux barbares venus du sud, les gentillettes peines d’incarcération apparaissent de plus en plus comme insuffisantes. La population est choquée de voir qu’il est possible de tuer un innocent et de ne faire que 6 ou 7 ans de prison. Pour les familles des défunts, le sentiment est encore pire puisqu’elle voit les juges cracher virtuellement sur les leurs, sur leurs fils, leurs filles, leur époux. « La France a tué mon mari » restera un tournant dans la liberté d’expression du peuple français.
Alors demander la peine de mort pour les terroristes est devenu une antienne communément admise. Le mot « terroriste » doit d’ailleurs être compris au sens large prenant en compte un djihad low cost comme à Oléron ou la haine du français poussée à l’extrême. Il ne faut pas compter sur le macronisme, mouvement décadent en faveur de l’extinction de tout ce qui est français, pour réintroduire la possiblité d’un verdict radical, voir la glorification dernièrement de Badinter. Mais des intellectuels osent en reparler. Actuellement l’insuffisance de la sanction envers les meurtriers est une insulte à l’état de droit que tous ces caciques aiment vanter.
Le jour arrive vite où chacun se fera justice en remplacement de la carence de l’état. Venger ses morts est un instinct de survie. Ce moment là dont il faut avoir hâte, bouleversera alors les mentalités, ouvrira la porte enfin à la rébellion du peuple. C’est ni plus ni moins la survie de la France qui se joue.
Frédéric Le Quer
PS : la carte en une montre bien que les pays en vie, dynamiques, ont maintenu la peine de mort. Ceux à l’agonie l’ont abolie!
Le sujet de la peine de mort était hier traitée sur LCI avec Henri Guaino et Jean-Michel Apathie (!) et un peu sur CNews avec Goldnadel. A chaque fois, chez chacun, la dégoulinante bonne conscience des bien-pensants s’était tue. En effet, la remise en question de l’abrogation de la peine capitale ne se retrouve plus seulement dans les discussions de…





