La fête de l’Assomption sous haute surveillance
La fête de l’assomption s’est tenue cette année sous haute surveillance. Le ministre de l’Intérieur a demandé aux préfets de rehausser leur niveau de vigilance dans un contexte d’augmentation des actes antichrétiens depuis le début de l’année. 401 faits relevés entre janvier et juin contre 354 sur la même période en 2024, soit une hausse de 13%.
Bruno Retailleau souhaita que l’attention des forces de l’ordre se porte tout particulièrement sur les offices, les processions et les pèlerinages qui sont traditionnellement associés au 15 août, notamment dans les sanctuaires, hauts lieux de dévotion des fidèles. L’état craignit des attentats lors de ces rassemblements catholiques. Cette préoccupation particulièrement marquée est une première. Gageons que ça ne va pas s’arranger pour les prochaines années et que la fête de l’assomption deviendra un moment de plus en plus risqué pratiqué sous la garde des CRS!
Du sacrilège envers la république et ses morts pour la France avec la flamme du soldat inconnu, à celui envers le malheureux Ilan Halimi avec le tronçonnage d’un olivier planté à sa mémoire, on voit bien que tout ce qui n’est pas musulman tend systématiquement à être saccagé ou profané. L’islam qui est une religion hégémonique, attaque la France, sa diversité, son universalisme. On n’a jamais vu un pays musulman prôné la variété des opinions et des religions. L’entre soi y règne en maître. Il s’agit de vivre dans un microcosme religieux dont à l’évidence nous sommes loin.
La menace terroriste est à un niveau élevé. On peut entendre dire que c’est dû à la guerre à Gaza, mais c’est faux. Cette menace est due à l’immigration folle qui est acceptée voire voulue par nos dirigeants prêts à sacrifier des citoyens sur l’autel de leur démence, de leur volonté de faire disparaître la France et les français de souche.
Frédéric Le Quer
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