Le premier amendement
« Le Congrès ne fera aucune loi (…) qui restreigne la liberté de parole ou de la presse… ». Le premier amendement de la constitution américaine sort renforcé de l’élection de Donald Trump. Les démocrates allaient y donner quelques coups de canifs sous prétexte de lutter contre la désinformation. Les américains sont sauvés pour quatre ans. Peut-être bien que les européens aussi.
La commission européenne s’engage contre la désinformation et la haine en ligne. Il s’agit avant tout d’un prétexte pour limiter la liberté d’expression et faire taire les opposants. Les années 2018 et 2022 ont vu naître à Bruxelles des lois contre la liberté d’expression sous prétexte de santé publique par exemple ou de manipulation des élections.
« Le journalisme de qualité » est aussi mis en exergue. Qu’est-ce donc? « Les journalistes de qualité » sont ceux qui pleurnichent depuis hier sur l’élection de Donald Trump. Ceux qui sont sans qualité pour l’UE et nos élites mondialisées, se réjouissent du résultat!
Depuis hier les ennemis des réseaux sociaux voient leur tâche compliquée. L’internet libre qui l’a échappé belle, va peut-être survivre grâce à la puissance d’Elon Musk. Big Pharma et ses covidistes qu’il devenait presque impossible de critiquer, les fous de guerre néo-conservateurs qui avaient toujours raison de faire la guerre sur un coin de la planète qui ne leur demandait rien, l’Otan et ses antisémites dont la parole bien qu’extrémiste était inattaquable, les libres échangistes à tout crin pour les marchandises et pour les êtres humains qui imposaient le déracinement sans contredit, bref tout ce qui désespère un peuple complètement perdu va faire l’objet de contradictions radicales et salvatrices.
On va pouvoir assumer le fait de ne pas s’être fait vacciner contre le covid. On va pouvoir assumer préférer l’intelligence d’un Poutine à l’extrémisme d’un Zelensky. On va pouvoir revendiquer la construction de murs pour supprimer une immigration de criminels islamistes qui s’acharnent à détruire nos églises et à tuer nos enfants. On va pouvoir dire non à des lobbies transgenres qui au lieu de laisser chacun devenir ce qu’il est – et ça c’est bien -, imposent aux enfants qui ne le demandent pas, l’idée d’une sexualité déviante au travers le refus aberrant et de plus en plus forcé des lois de la nature.
La liberté d’expression est garantie par le premier amendement aux Etats-Unis. Il est très probable que l’élection de Donald Trump réfrénera aussi la censure bruxelloise.
Frédéric Le Quer
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