
Matisse
On pense ce matin à Matisse et à sa famille qui vit à Châteauroux. Un salopard d’adolescent afghan a tué le jeune français d’une multitude de coups de couteau parce qu’il critiquait son rap. La mère, une garce d’afghane, a continué à frapper Matisse, à terre, agonisant, à coups de pied. Dans trois ans maximum, la justice française a estimé que l’assassin pourrait être libre à condition de suivre des soins psychiatriques. Quant à la mère, la police française la protège d’éventuelles représailles.
Ça commence à bien faire ! Il est insupportable de voir les tueurs de français s’en sortir parce qu’ils plaident la perte de conscience de leurs actes, l’altération de leurs facultés mentales. Quelles facultés? On a pensé que l’affaire Sarah Halimi avait pu être une grossière erreur judiciaire sans suite. Aujourd’hui si ça se trouve son tortionnaire Traoré est dans la rue… Mais ça se répète inexorablement. Tuer un français est quasiment un acte impuni. Les juges considèrent à chaque fois qu’être français est un privilège indu. Que ceux qui ne le sont pas peuvent massacrer un autochtone comme si c’était une manière de remettre les pendules à l’heure, d’équilibrer les droits et les devoirs, les avantages et les inconvénients d’être né dans tel ou tel camp.
Il n’y a pas de justice. Le dégoût, la colère, la honte de vivre dans un pays pourri nous envahit à chaque procès d’assise. Etre de gauche de nos jours revient à offrir en pâture des victimes françaises à des criminels venus d’ailleurs. Du moment qu’ils viennent d’ailleurs, ils peuvent voler, violer, tabasser, assassiner n’importe quel français quel que soit son sexe ou son âge. La société doit accepter sous prétexte de vivre ensemble. Ensemble, c’est à dire les barbares et nous. Ensemble, avant que nous ayons laissé définitivement la place aux barbares.
Matisse a disparu à jamais. La vie de ses parents est fichue à jamais. Le meurtrier et toute sa smala continueront à jouir des avantages d’un pays qu’il devient de plus en plus difficile de considérer comme celui des français, de considérer comme le nôtre.
Frédéric Le Quer
On pense ce matin à Matisse et à sa famille qui vit à Châteauroux. Un salopard d’adolescent afghan a tué le jeune français d’une multitude de coups de couteau parce qu’il critiquait son rap. La mère, une garce d’afghane, a continué à frapper Matisse, à terre, agonisant, à coups de pied. Dans trois ans maximum, la justice française a estimé…