Les chercheurs américains en Europe!
L’instrumentalisation et la récupération par Emmanuel Macron du conflit entre les chercheurs américains et Donald Trump sont consternantes. « Choose France » transformé en « Choose Europe » à la demande d’Ursula van der Leyen annonce des centaines de millions pour développer la recherche. Il s’agit de faire venir des chercheurs américains très certainement woke, intersectionnels et islamo-gauchistes qui ne supportent pas le trumpisme ambiant aux Etats-Unis.
La seule chose de positive dans cette histoire est que les sciences sociales ont par miracle été sorties du jeu. Le CNRS coûte déjà 3,8 milliards avec 33000 fonctionnaires, 11000 chercheurs. La seconde plus importante branche est celle humaine et sociale, branche la plus idéologisée avec wokisme et islamo gauchisme comme fers de lance.
Emmanuel Macron a déclaré que l’Europe – et plus la France puisqu’il a renoncé à « Choose France » – , « se positionne comme un continent d’attractivité. L’innovation, la science et la recherche sont pour nous des éléments essentiels » et ensuite de mélanger « attractivité, soutien à l’Ukraine, défense européenne, réponse aux droits de douane américains, commerce » dans un gloubi-boulga à donner la nausée.
Comme le rappelle opportunément Asselineau, Macron qui a voulu « emmerder les français » en leur injectant de force de l’ARN messager et qui a censuré le prix Nobel Montagnier, ose maintenant donner à Trump des leçons de liberté scientifique.
L’observatoire de l’immigration et de la démographie annonce qu’entre 2014 et 2024, l’Union européenne a accueilli plus de 8 millions de demandeurs d’asile sur son sol. C’est comme si elle avait accueilli un nouvel État membre, le 15ᵉ par la taille de sa population. Et maintenant sans désemparer, elle va amener sous le vocable de chercheurs américains des idéologues woke, polémiques et ruineux. On ne change pas une équipe qui perd!
Frédéric Le Quer
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