Un Javier Milei à la mode de chez nous

Les argentins ont voté en faveur de l’audace de Javier Milei plutôt que de risquer de retomber dans la corruption indigeste du péronisme. Ce mouvement avait fait du pays un champ de ruine économique. Les argentins n’avaient rien à perdre à voter en faveur du président sortant surtout que, depuis deux ans, ses résultants témoignent d’un mieux. Certes les péronistes étaient tombés si bas que le renouveau n’était pas si compliqué dans cette nation ethniquement homogène et patriote. Mais au moins il est là.

L’Argentine c’est loin, mais comment ne pas penser à la situation politique en France. Nous sommes tombés très bas et nous creusons encore. Depuis 1981, nous ne nous sommes pas affranchis de cet UMPS qui continue à tenir les rênes. Cela fait donc quarante quatre ans que ça dure sans interruption. Avant 2023, le péronisme était au pouvoir depuis des décennies aussi et il a ruiné son pays comme les nôtres ruinent le nôtre. Toujours les mêmes se partagent les bonnes places et pillent l’argent de l’état avec des revenus indécents en comparaison à ceux du peuple.

La question en suspend est de savoir si, comme les argentins, les français sont capables de réagir, sont capables d’une audace similaire. Ce sera plus compliqué puisque dorénavant le mot français recouvre une notion si disparate qu’elle éteint tout patriotisme. Trop de monde peut se revendiquer français avec raison d’un simple point de vue administratif.

Néanmoins il est peut-être encore temps pour ceux qui se sentent viscéralement français d’éliminer la gangrène partout incrustée. Pour ce faire, il faut choisir comme les argentins et voter autrement, voter pour ceux que la nomenclature disqualifie à loisir en les traitant de populistes ou d’extrême droite. Ils ont pourtant autre chose à offrir à la France. Il faut tenter le coup avant qu’il ne soit trop tard, tenter le coup d’un Javier Milei à la mode de chez nous!

Frédéric Le Quer

Les argentins ont voté en faveur de l’audace de Javier Milei plutôt que de risquer de retomber dans la corruption indigeste du péronisme. Ce mouvement avait fait du pays un champ de ruine économique. Les argentins n’avaient rien à perdre à voter en faveur du président sortant surtout que, depuis deux ans, ses résultants témoignent d’un mieux. Certes les péronistes…

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