De Heidi, heido, heida à Allah akbar

“Heidi, heido, heida, heidi, heido, heida, heidi, heido, heida, ha ha ha ha ha ha ha”. N’importe quel français de souche pourrait encore chanter cette chanson que l’occupant allemand scandait à tu-tête en 40 dans les rues de France. Parents ou grands-parents l’ont longtemps rappelée en souvenir d’une époque redoutable, dangereuse et humiliante. Ce n’est pas un chant nazi, juste du folklore comme “La Madelon vient nous servir à boire”. ça n’en reste pas moins sulfureux comme un serment d’allégeance à l’envahisseur.

Aujourd’hui l’envahisseur a changé. Il est tout aussi dangereux que celui d’il y a 80 ans. Il ne chante plus, il crie. Et les rues retentissent de ses Allah akbar servant de ralliement à sa cause.

On ne sait pas très bien écrire Allah akbar ou Allahu akbar comme beaucoup prononçaient Heili heilo au lieu de Heidi heido. Certains français de souche restent alignés derrière ces mots allemands et arabes, c’est leur façon de collaborer avec l’ennemi, ce sont plus ou moins les mêmes avec des décennies d’intervalle, d’indignes descendants. Dans les deux cas l’ennemi prend possession du territoire par le bruit qu’il émet assourdissant ainsi celui des français de souche qu’on n’entend plus. On se fait tuer avec ces mots en bruit de fond et les survivants font comme s’ils n’avaient rien entendu. Les juifs sont encore une fois dans l’œil du cyclone.

La différence, c’est que la bascule en temps de guerre a été clairement datée en 39. De nos jours chacun sait qu’on y est mais personne ne dit quand tout cela à commencer et n’ose vraiment en tirer les conséquences. On confond allègrement bienveillance et naïveté comme pour ne pas avoir à regarder son air de lâcheté dans la glace et accepter l’inacceptable.

Heidi, heido heida, et Allah akbar, c’est pareil, c’est la France qui s’éteint à petit feu mais dans laquelle il existe toujours de valeureux résistants.

Frédéric Le Quer

“Heidi, heido, heida, heidi, heido, heida, heidi, heido, heida, ha ha ha ha ha ha ha”. N’importe quel français de souche pourrait encore chanter cette chanson que l’occupant allemand scandait à tu-tête en 40 dans les rues de France. Parents ou grands-parents l’ont longtemps rappelée en souvenir d’une époque redoutable, dangereuse et humiliante. Ce n’est pas un chant nazi, juste…

Comments

  1. Voilà après les ss nous sommes envahi par des barbare qui nous prennent notre pays notre religion notre argent et égorgé sur notre terre et nous sommes déjà envahi j’ai 75ans je demande que renvoie de tout c’est étrangers qui nous apporte la haine contre les français il nous ahisse

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