Samuel Paty
Dimanche, le jour des manifestations islamo-gauchistes menées par Jean-Luc Mélenchon pour faire la révolution, cela fera deux ans que Samuel Paty aura été égorgé dans la rue pour avoir montré des caricatures de Mahomet dans un cours sur la liberté d’expression. La contestation de l’enseignement de la part des élèves musulmans et de leur famille n’a depuis pas diminué puisque le gouvernement n’en a tiré aucune conséquence. La submersion migratoire venue des pays arabo-musulmans continue sans désemparer avec la bienveillance de nos dirigeants. Le nombre de plus en plus faramineux de ces gens entraînera ipso facto notre défaite face à la guerre qu’ils nous mènent.
Dans ces conditions, la capitulation en rase campagne des tenants de la laïcité pourrait être grotesque et risible avec tous leurs bons sentiments si elle n’actait pas aussi la fin de la culture française. Il ne s’agit même plus de mentionner en cours le nom de Mahomet, il suffit de prononcer celui de laïcité pour se voir menacer de mort comme le professeur du Haut-Rhin la semaine dernière ou même simplement comme à Paris, fin septembre, de demander à une élève d’enlever son voile en classe. Maintenant des élèves se bouchent les oreilles en entendant de la musique et même, information France Culture de ce matin, une classe à l’unanimité a dernièrement refusé de chanter.
La loi de 2004 qui demandait une tenue appropriée pour aller à l’école est dorénavant constamment bafouée par le port de vêtements ostensiblement religieux. Sur les 313 signalements pour atteintes à la laïcité intervenus au mois de septembre, la moitié concerne le port de tenues religieuses, abayas pour les filles et qamis pour les garçons, voir l’image en une. Ça a commencé en Seine-Saint-Denis il y a dix ans et depuis il y en a un peu partout encouragées par des mouvements islamistes.
Le mal est profond et s’il n’y a pas dans un premier temps arrêt de cette immigration puis dans un deuxième temps remigration des fortes têtes dans les familles à double nationalité, la France est en passe de devenir le Francistan! On peut dire aujourd’hui que le pauvre Samuel Paty est mort pour rien puisque cette horreur n’a rien changé et qu’au contraire tout ne cesse d’empirer. L’égorgement de Samuel Paty a probablement encouragé nos ennemis qui ont vu cette barbarie comme une victoire. La république n’a pas su faire régner la terreur dans les milieux islamistes et ces derniers font maintenant régner la terreur au sein des lycées publics.
Frédéric Le Quer
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