Je partira pas. Si, si, tu partiras

“Je partira pas. Si, si, tu partiras et plus tôt que tu crois. On t’a assez donné. Maintenant tu peux te casser. Bon débarras et ne reviens pas.”

Par la dissolution, Emmanuel Macron croyait pouvoir éloigner du pouvoir le Rassemblement National. Jordan Bardella, à trois jours du premier tour, n’a jamais été aussi prêt de Matignon. La seule manière de le gêner eut été des mesures drastiques empêchant l’immigration. Le président s’y refuse préférant parler d’insécurité physique en semblant ignorer l’insécurité culturelle dans laquelle il nous plonge.

Le bouchon saute comme dans toutes les révolutions où un peuple s’est tu trop longtemps. En 1789 la France chantait “Ah ça ira, ça ira, les aristocrates, on les pendra”. Et elle en a pendu de nombreux aveuglément, par haine et par vengeance. Et du raisonnable réformiste Mirabeau, elle est passée à Robespierre.

“Je partira pas. Si, si tu partiras et plus tôt que tu crois. On t’a assez donné. Maintenant tu peux te casser. Bon débarras et ne reviens pas.”

Du raisonnable réformiste Jordan Bardella, si les médias, les associations de tout poil, la bien-pensance de “droite” s’entêtent à rejeter les besoins du peuple, vers quel bourreau la France est-elle capable d’aller? Tous nos leaders d’opinion devraient soutenir Jordan Bardella. Au lieu de taper dessus, il faut l’aider à réussir. Ces enseignants, ces scientifiques qui pétitionnent à l’envi, ce sont des cons.

Et les jeunes français de chanter un air extrêmement populaire sur Tiktok et ailleurs. Un hymne à la remigration massive se répand parmi la génération Z. Les français chantent mais c’est tous les européens qui comme en 1789 en ont assez.

“Je partira pas. Si, si tu partiras et plus tôt que tu crois. On t’a assez donné. Maintenant tu peux te casser. Bon débarras et ne reviens pas.” “Tu partiras avec ta fatma. Pour toi finis le RSA”.

En Allemagne, ils ont la chanson “Ausländer raus”. C’est du même tonneau en moins bien fait, à mon avis. Mais la remigration y est aussi complètement assumée. On la retrouve depuis des mois dans les boîtes de nuit et les festivals en Allemagne.

Alors qu’attend l’Union Européenne pour stopper l’immigration?

Frédéric Le Quer

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