
Le grand cirque de la mandature Macron
Le grand cirque de la mandature Macron continue. Depuis le début, il suffisait d’entendre ses discours pour mesurer le vide dans lequel il allait nous plonger. Ses papouilles répétées à ses interlocuteurs masculins montraient qu’il tentait de substituer au néant de sa pensée politique une amabilité feinte qui rendait mal à l’aise. Les français découvraient en juin ses manières d’enfant gâté qui casse son jouet parce qu’il n’est pas satisfait de la façon dont tournent les choses.
Des institutions détruites sont les conséquences des choix répétés par deux fois des électeurs lobotomisés par des lobbies qui ont voulu et réussi à placer un nain là où la France compte tenu de sa situation dégradée a besoin d’un géant. Les fils de la marionnette mondialiste sont maintenant brisés et elle gît lamentablement sur le sol. On s’en ficherait si nous ne nous écrasions pas avec elle.
Aucun gouvernement n’est pour le moment prêt à travailler et quand il sera enfin nommé ses jours seront comptés. Nos institutions ne sont pas en mesure de sauver la France. Mais quelles institutions pouvaient nous sauver d’un grand malade mégalomane et schizophrène? Notre déchéance est actée.
Les opposants aux vrais présidents tentent parfois de les tuer. Au nôtre, un jour, on lui a juste mis une baffe.
Emmanuel Macron doit partir. Des médias dignes de ce nom devraient organiser une campagne de presse pour exiger sa démission. Les contre-pouvoirs devraient exiger sa démission. L’Union Européenne devrait lui montrer la sortie avant que le naufrage de la France n’entraîne avec lui tout le vieux continent.
Mais plus il y a de journalistes, moins il y a d’opposants efficaces! A part le groupe Bolloré et Valeurs Actuelles, tout le monde s’écrase. Le nouvel intérêt des médias est de savoir si Sébastien Lecornu aura un portefeuille! Lecornu! C’est plutôt nous les cocus. Le grand cirque de la mandature Macron continue.
Frédéric Le Quer
Le grand cirque de la mandature Macron continue. Depuis le début, il suffisait d’entendre ses discours pour mesurer le vide dans lequel il allait nous plonger. Ses papouilles répétées à ses interlocuteurs masculins montraient qu’il tentait de substituer au néant de sa pensée politique une amabilité feinte qui rendait mal à l’aise. Les français découvraient en juin ses manières d’enfant…