
Le terme racisme antiblanc
Le terme « racisme antiblanc » fait florès. Pour Marion Maréchal, “le combat pour la reconnaissance du racisme antiblanc, pour la répression de ses auteurs, la dénonciation de ses négateurs, doit être central et permanent.”
Les premiers réfugiés sud-africains persécutés car blancs viennent d’arriver aux USA. Incontestablement c’est un nouveau fait de société si on ignore les exilés blancs natifs des banlieues rouges françaises qui, depuis 40 ans, ont tous quittés le lieu de leur enfance, remplacés par les immigrés.
Evidemment les drames sont incontestables mais ce racisme reste d’un type différent de celui des colonisateurs européens des XIXe et XXe siècles. Ils avaient un complexe de supériorité justifié par l’évolution technologique de l’occident à nulle autre pareille.
Aujourd’hui le racisme antiblanc, puisque ce terme est incontournable, ne se justifie pas par un complexe de supériorité. Au contraire, même. Il s’agit d’une haine pure et simple avec une tentative d’imposer ses mœurs non par une grandeur intellectuelle, scientifique, conceptuelle, mais par le ventre des femmes.
La démographie est l’arme magique dans un monde où les frontières disparaissent. C’est ainsi que la minorité blanche est persécutée faute de combattants. Les persécuteurs n’apportent rien. Ils détruisent comme les barbares venus de l’est à la chute de l’empire romain. Il fallut des siècles à l’occident pour s’en remettre.
On est probablement à ce type de période. Les barbares cette fois viennent du sud. Ce sont avant tout pour beaucoup des ennemis. Le terme racisme antiblanc cache même à mon avis la situation de guerre. Notre élimination n’en est pas moins un objectif.
Frédéric Le Quer
Le terme « racisme antiblanc » fait florès. Pour Marion Maréchal, “le combat pour la reconnaissance du racisme antiblanc, pour la répression de ses auteurs, la dénonciation de ses négateurs, doit être central et permanent.” Les premiers réfugiés sud-africains persécutés car blancs viennent d’arriver aux USA. Incontestablement c’est un nouveau fait de société si on ignore les exilés blancs natifs des banlieues…