Hugo Lloris et le racisme anti blanc

“Sale blanc”, “Lloris la passoire, la poukave (?), baltringue, dehors petit blanc bec”, “Lloris, c’est un vendu, ça se voit, il voulait laisser gagner les blancs argentins, c’était le seul blanc de l’équipe de France”, etc, etc…

Dois-je avouer que les attaques contre Hugo Lloris m’ont faites rire. J’exagère un peu mais ça m’a fait vraiment sourire. Et mon sourire était un sourire condescendant bien plus assuré que les commentaires de ces supporteurs que je suppose blacks ou arabes. Drapé dans mon aura d’occidental, leurs injures racistes étaient regardées de haut. Elles ne peuvent pas vraiment atteindre un blanc comme si elles partaient de trop bas.

Quand la gauche dit qu’il ne peut pas y avoir de racisme anti blanc, elle a tort dans le sens où ces gens en détestent d’autres uniquement à cause de leur couleur de peau blanche. Mais un occidental ne peut pas vraiment être atteint par une injure raciste. Elle ne peut pas le vexer. Elle ne lui fera pas ontologiquement de mal. Son histoire parle pour lui. Toutes les avancées scientifiques depuis deux siècles viennent de lui. Toute la pensée philosophique et politique est issue de l’occident chrétien. L’occident domine le monde depuis trop longtemps, l’occident attire trop la terre entière pour se sentir contrarié par une insulte anti blanc.

En fait la violence pour montrer sa haine à l’encontre des blancs est le seul recours. Et tant que, globalement, ils refuseront de s’instruire en préférant la religion, le sport et la guerre au savoir, tant que des pays du continent africain n’étonneront pas le monde par une approche intellectuelle de la vie qui leur est propre et qui les honore, loin des concepts blancs, les racistes de là-bas ne resteront que des excités du bocal.

Les insultes ont glissé sur Hugo Lloris. Evidemment si quelqu’un avait dit la moitié de ce qui a été dit sur lui aux deux joueurs français noirs qui ont raté leur penalty, les médias et le pouvoir, avec raison d’ailleurs, auraient hurlé à n’en plus finir. Mais un blanc sur terre, il a cette chance incroyable de ne pouvoir jamais être touché dans son cœur par ces attaques racistes

Frédéric Le Quer

“Sale blanc”, “Lloris la passoire, la poukave (?), baltringue, dehors petit blanc bec”, “Lloris, c’est un vendu, ça se voit, il voulait laisser gagner les blancs argentins, c’était le seul blanc de l’équipe de France”, etc, etc… Dois-je avouer que les attaques contre Hugo Lloris m’ont faites rire. J’exagère un peu mais ça m’a fait vraiment sourire. Et mon sourire…

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