Mikheïl Kavelachvili

La nouvelle tendance des pro européens est d’annuler ou boycotter les élections quand le résultat ne leur convient pas ou ne va pas leur convenir. Les peuples qui étaient sous l’influence de l’URSS en sont victimes en ce moment. Le « paradis » occidentale les effraie mais ses relais s’agitent comme au temps des révolutions de couleur fomentées par l’intermédiaire d’ONG de l’ouest. Mikheïl Kavelachvili en Géorgie est la cible de l’Union Européenne.

Mikheïl Kavelachvili vient d’être nommé président de Géorgie au suffrage indirect par les députés. Ces derniers viennent d’être élus en octobre 2024 au suffrage universel direct. Les législatives ont été contestées avec pour argument principal que les résultats en faveur du parti au pouvoir, Rêve géorgien, ne correspondait pas aux sondages à la sortie des urnes organisés par des officines occidentales ! A la Chambre, les députés de l’opposition n’ont pas participé à l’élection du président de la république sachant qu’ils allaient perdre.

Il s’agit maintenant de déstabiliser un pouvoir élu démocratiquement mais qui a pour tort d’être anti européen. Mikheïl Kavelachvili, ancien footballeur de talent à la carrière internationale, a une haute idée de l’identité nationale qui ne s’accorde pas avec sa liquidation voulue par l’UE. Les racines de sa nation, ses mœurs, ses coutumes, sa religion ont pour Mikheïl Kavelachvili encore un sens. Elles cimentent l’unité du pays. Elles font ce qu’il est et ce que ses compatriotes sont. Il veut pouvoir reconnaître la Géorgie et ne pas risquer de devenir un jour étranger chez lui comme les français. A propos de la braderie de ces notions patriotiques en France, il faut lire le livre de de Villiers, Mémoricide.

En Roumanie les tenants de l’occident annulent les élections. En Géorgie, ils les boycottent. Décidément l’Europe de Van Der Leyen et Macron se crispe et prouve chaque jour qu’elle devient antidémocratique à mesure que le rejet des citoyens grandit.

Frédéric Le Quer

La nouvelle tendance des pro européens est d’annuler ou boycotter les élections quand le résultat ne leur convient pas ou ne va pas leur convenir. Les peuples qui étaient sous l’influence de l’URSS en sont victimes en ce moment. Le « paradis » occidentale les effraie mais ses relais s’agitent comme au temps des révolutions de couleur fomentées par l’intermédiaire d’ONG de…

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