La Croatie et les autres
Il a suffi que Zoran Milanovic promette que les soldats croates n’iraient pas combattre en Ukraine pour que dès le premier tour des élections présidentielles, il soit quasiment réélu à la tête de la Croatie. Celui qu’on appelle parfois le Trump croate reste ainsi, au sein de l’UE, avec les dirigeants avisés de la Hongrie et de la Slovaquie, Orban et Fico. Ils ne voient pas en Zelensky un homme providentiel, ni en Poutine un démon. Et ils considèrent à voix basse que les russes avaient des raisons objectives pour avoir engagé le conflit.
Ceux que nos médias qualifient de « controversés » ne le sont décidément que dans leur milieu mondialiste. Pour les peuples, ils sont indiscutables par les temps qui courent puisque garants de la paix en ne voulant pas se laisser entraîner dans une guerre contre la Russie. Et, comme par hasard, ces peuples et leurs sages dirigeants ne rêvent pas non plus de voir leur pays envahi par l’islam conquérant et luttent contre l’immigration massive que tente de leur imposer Bruxelles. Bref, des électeurs avisés et des chefs de qualité comme on voudrait en voir chez nous, sont garants d’une tranquillité civile qui ne peut faire que notre admiration. Par exemple, les incendies de véhicules pour les réjouissances du nouvel an ont déjà commencé ce week-end en France avec 47 voitures brûlées à Strasbourg. En Hongrie, en Slovaquie, en Croatie, ça n’existe pas, c’est même inimaginable.
Mais il faut constater pour se rassurer que la réalité tyrannique de l’Union Européenne est en train d’exploser aux yeux des citoyens un peu partout en Europe. Même les allemands se rebiffent. Les français perdent leur boussole. Vivement chez nous de nouvelles élections.
Frédéric Le Quer
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