1er janvier à Ozoir-la-Ferrière
De plus en plus fréquemment comme ce 1er janvier à Ozoir-la-Ferrière, de vieilles femmes sont violées chez elles ou dehors par de jeunes migrants en manque de sexe incapables de se contrôler. Il faudrait faire connaître à ces sauvages Albert Camus expliquant qu’un homme, ça s’empêche… Eux ne s’empêchent pas surs de leur impunité ou de leur dérisoire sanction.
C’est ainsi que le drame du jour de l’an défraie la chronique. A 7 heures du matin, – l’année commence bien mal – un violeur africain a pénétré par effraction dans une maison, a demandé une fellation à une dame de 75 ans, puis devant son refus, a trouvé plus pratique de se soulager en la violant purement et simplement. Le mari handicapé physique n’a pu défendre son épouse. La malheureuse est en état de choc.
Le mouvement de libération des femmes (MLF) qui a refait surface au moment de la sortie du film Barbie l’accusant d'”une vision infantile, cynique et fallacieuse du féminisme mise au service d’un capitalisme pervers” n’a fait aucun communiqué concernant ce drame.
S’agissant d’autres associations d’aide aux victimes de violences sexistes et sexuelles promues par le gouvernement sur le site https://arretonslesviolences.gouv.fr/associations-de-lutte-contre-les-violences-sexistes-et-sexuelles que je vous invite à aller voir vous-mêmes, les réactions sont aussi édifiantes. En fait, payées grassement par l’argent public, elles ne travaillent pas et commettent au mieux 4 ou 5 articles par an complètement hors sol. Aucune de ces associations ne mentionne ce drame ni aucun autre drame.
La Fédération nationale solidarité femmes ignore l’événement. La Fédération nationale des Centres d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles ignore aussi l’événement mais s’inquiète en revanche d’une régression des droits des femmes étrangères avec la loi immigration. Le collectif féministe contre le viol ignore l’événement. Le Mouvement français pour le planning familial ignore l’événement mais reste très mobiliser en faveur du droit à l’avortement. Femmes solidaires ignore l’événement. La Fédération nationale GAMS ignore l’événement. France Victimes ignore l’événement. Etc, etc… D’autres encore pourraient être citer. Aucune n’est dans le réel, le dur, le concret.
Dans ces mouvements s’inquiétant de la situation des femmes en France, seul le collectif Némésis ignoré par le gouvernement (!) s’est offusqué du drame du 1er janvier à Ozoir-la-Ferrière. Engagé à “dénoncer toutes les violences faites aux femmes aussi bien dans leur quotidien que sur leur lieu professionnel ou encore dans la rue et à dénoncer l’impact dangereux de l’immigration de masse”, il a relayé l’information comme les autres informations de viol quasiment quotidienne. Evidemment aucun site gouvernemental ne promeut ce collectif. A terme le grand exterminateur de la liberté d’association, Gérald Darmanin tentera probablement de le dissoudre.
Le réel est l’arme fatale contre le macronisme qui le sait pertinemment et s’en méfie comme de la peste!
Frédéric Le Quer
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