La police municipale

La police municipale risque de plus en plus de devenir un sujet important. Son existence correspond à un désengagement de l’état. Elle est à la botte du maire. Les édiles islamo-gauchistes sont déjà nombreux mais vont se multiplier dans l’avenir. La police municipale déjà plus ou moins chargée d’étouffer les opposants finira par faire, pourquoi pas, appliquer un jour la charia.

On a vu récemment l’incroyable sortie de Benoit Payan le maire de Marseille. Certains agents de sa police municipale seraient « sous influence d’une bande des quartiers nord », d’après son opposition. Qui dit quartier nord de Marseille dit emprise islamiste. Rien que le fait d’évoquer le sujet a énervé à tel point le maire qu’il a déclaré : « Désormais, que les choses soient très claires. Je demanderai, à ce que chacun des propos qui sont tenus dans cet hémicycle, concernant les musulmans, soient observés, regardés à la loupe, par un avocat ». C’est toujours la même technique : Asphyxier financièrement l’adversaire grâce à la justice. Le Rassemblement Nationale en sait quelque chose, Eric Zemmour aussi.

Florian Philippot raconte sur X l’histoire qui lui est arrivée à son meeting à Quimper. La police municipale n’a rien fait pour arrêter des perturbateurs qui n’étaient pourtant que très peu nombreux mais obstruaient l’entrée de la salle qu’il avait réservée. Présente, elle les a juste écoutés hurler leurs slogans. Elle était aux ordres de deux conseillers municipaux de gauche qui étaient venus observer. Je sais personnellement que la mairie de Quimper n’aime guère entendre un autre son de cloche que le sien. Il y a quelques années, Politiqart commettait des articles sur la faïence de Quimper ou sur des peintres bretons qui avaient l’heur de plaire à quelqu’un du musée. Compte tenu de la ligne éditoriale de la partie « politique » du blog, les articles sur l’art ont été définitivement censurés!

Beaucoup d’élus de gauche n’aimaient pas l’idée d’une police municipale. Au vu de leurs collègues qui l’ont instrumentalisée dans leur propre intérêt, leur opinion évolue maintenant. Le régalien, c’est l’état central et ce qui se passe avec cette décentralisation est dangereux pour la démocratie; d’une police chargée de la sécurité des citoyens, il est rapide de passer à une police de la pensée.

Frédéric Le Quer

La police municipale risque de plus en plus de devenir un sujet important. Son existence correspond à un désengagement de l’état. Elle est à la botte du maire. Les édiles islamo-gauchistes sont déjà nombreux mais vont se multiplier dans l’avenir. La police municipale déjà plus ou moins chargée d’étouffer les opposants finira par faire, pourquoi pas, appliquer un jour la…

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