Bir Hakeim
Armand, le français, a crié Allah Akbar. Il n’y a pas de quoi rire pourtant, il y a un mort et des personnes traumatisées pour longtemps. Il ne s’appelle pas Armand évidemment. Le terroriste s’appelle Iman Rajabpour-Miyandoab. Iman, Armand, la bien pensance est aux manettes. Iman est d’origine iranienne, encore un français de papiers. Marre du droit du sol! ça se passa sur le pont Bir Hakeim qui commémore la première contribution importante des français libres à la victoire contre les nazis. Aujourd’hui, Bir Hakeim représente une déroute de plus de notre état, de nos institutions face à l’envahisseur islamiste.
Mais cette déroute est préparée par nos dirigeants politiques et économiques. La photo en une a été prise rue du Commerce à quelques centaines de mètres de l’attentat, pratiquement au même moment. La propagande immigrationniste se frotte au message non pas subliminal parce qu’il est très visible, mais plutôt au « rentrez-vous bien ça dans la tête ».
Cette très commerçante artère du 15e arrondissement de Paris n’était guère éclairée, il y a un an. Les commerçants se disaient financièrement aux abois, incapables de fêter dignement Noel. Cette année, c’est Broadway! Pléthore de luminosité! Il fallait pour cela se soumettre et laisser parcourir la rue de 800 m de long environ, par plusieurs banderoles lumineuses marquées « Illumination Migration ».
Il y a de quoi être écœuré. A aucun moment il y a la moindre allusion à Noel, juste un simple « Joyeuses fêtes » un peu perdu au milieu du slogan « Illumination Migration ». Qui a fait ça? La mairie n’ayant plus d’argent, il faut probablement se tourner vers la multinationale Bompard – vêtements pour enfants entre autres -, celle qui cherche à installer des migrants partout en France.
Il n’y a pas que dans urnes qu’il est possible de voter. On peut voter aussi avec son portefeuille et ne rien acheter dans cette rue du 15e arrondissement de Paris tout prêt du Pont Bir Hakeim où hier soir un malheureux jeune homme en vacances à Paris a fini sa vie à cause de l’immigration folle voulue depuis des décennies par une caste de pourris.
Frédéric Le Quer
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