Victoire à Callac!
Il est rare que l’actualité donne l’occasion de se réjouir. La bonne nouvelle vient de la petite ville de Callac dans les Côtes d’Armor où la mairie a renoncé au projet Horizon – et quel horizon! – consistant à installer des familles de réfugiés dans la municipalité contre quelques ravalements d’immeubles et autres peccadilles. Ce projet de prise en charge de ses étrangers était conçu par la famille Cohen, les propriétaires du groupe de vêtements pour enfant Bonpoint.
Les grandes entreprises immigrationnistes ont donc subi un revers tactique. Les bretons ont refusé cette immigration forcée et leur maire débordé a dû céder à la majorité de ses administrés parce que celle-ci n’a été pour une fois pas silencieuse. C’est la preuve que quand on veut, on peut. Ce petit territoire de Cornouailles restera français. Un bastion français.
Les habitants de Callac ont évidemment été traités de racistes et même d’antisémites. Antisémites, j’imagine que c’est à cause du nom Cohen, famille ayant conçu le fond de dotation Merci dont la raison est de rajouter un peu à l’immigration massive que connait la France. Eric Zemmour et son parti Reconquête se sont montrés farouchement contre et se sont félicités hier de cette issue heureuse. A-t-on dit que les partisans du projet étaient antisémites parce que Zemmour, contre donc, est juif? Evidemment non. Il s’agissait encore d’une manipulation qui tendait éhontément vers le point Godwin pour mieux culpabiliser le peuple.
Quant au racisme des bretons souhaitant demeurer sur un territoire bretonnant sans les affres de la mondialisation culturelle, la critique est habituelle. Si la sauvegarde de cultures lointaines à travers le monde fait l’objet d’admiration, la nôtre devient raciste quand elle cherche à protéger ses racines. Pour les mondialistes qui dirigent, les français et leur mode de vie doivent être dilués le plus possible, voire même et c’est encore mieux laisser la place aux autres.
Cette affaire de Callac est aussi un échec direct pour le président de la république qui veut répartir les étrangers arrivant dans les espaces ruraux plutôt que les grandes villes. Même si le fond de dotation Merci a annoncé dans un communiqué qu’il avait de nombreux projets du même tonneau que celui de Callac, la population sait dorénavant que, si elle les combat avec force et vigueur, les multinationales immigrationnistes et leur héraut politique Emmanuel Macron devront reculer.
Callac était hier une actualité heureuse dans la grisaille hivernale.
Frédéric Le Quer
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