Déclassement

Le déclassement de la France continue sans interruption. La situation économique le dispute dans l'”infâme” à la situation sociétale. Continuons avec les mots de la gauche! La “nausée” n’est plus une expérience philosophique et individuelle mais la sociologie d’une population.

La semaine dernière, par exemple, à Rive-de-Gier du coté de St Etienne, une jeune femme s’est vue asséner 13 coups de couteaux près de la gare. La réponse dérisoire du gouvernement est de donner une amende de 500 € à ceux de plus en plus nombreux qui portent ce genre d’armes blanches, 500 € qu’ils ne paieront jamais. Des afghans créent la révolution en plein Paris. La réponse du gouvernement est d’exiger des médias qu’ils ne relatent pas l’affaire. Des élèves de plus en plus violents en tabassent d’autres si fréquemment qu’il s’agit dorénavant incontestablement d’un fait de société. La réponse du gouvernement est de leur demander poliment s’il veulent bien aller en internat, histoire de changer d’air. On imagine bien leur refus! Avant, quand on était tous des fascistes certainement, c’était la maison de correction et le choix n’existait pas.

L’état de la société est hystérique. Ce week-end, un maire démissionne parce qu’il est juif pendant qu’un autre fait le salut nazi en plein conseil municipal. Le macronisme a réussi l’exploit de déboussoler aussi bien la population que ses élus. Le “en même temps” rend fou. Emmanuel Macron l’est déjà. Le pays entier le devient. Son déclassement sans espoir de retour actuellement tant les mesures gouvernementales sont dérisoires par rapport au drame français, panique les hommes de bonne volonté. Il laisse le champ libre à leurs ennemis, les voyous, les français de papier, les islamistes, les étrangers venus ajouter de la pagaille à la pagaille en profitant des derniers subsides de l’état providence, subsides qu’il est en train de retirer aux autochtones.

Leurs promesses non tenues, leurs mensonges permanents, leur démagogie éhontée, leur mépris des Français devraient enfin permettre au Rassemblement National d’écraser les élections européennes. Le vote Reconquête n’est pour autant pas un vote perdu puisqu’il peut représenter à terme une force d’appoint. Le vote Les Républicains est moins évident puisque leurs trahisons sont trop nombreuses pour vraiment leur faire confiance. Mais François Xavier Bellamy a un discours séduisant. Alors là non plus il ne s’agit pas d’un vote perdu. Toutes ces voix s’additionneront à la fin pour réclamer la démission du gouvernement et celle in fine d’Emmanuel Macron. C’est urgent, très urgent.

Frédéric Le Quer

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