Marche blanche

La marche blanche plait au gouvernement. Il méprise ceux qui y participent mais canalise ainsi de potentielles réactions violentes. Tant, pense-t-il, que les dégénérés de français de souche restent polis, leur écrasement se fera plus aisément. Les pleurnicheries ne vont pas avec la révolte.

Alors les télévisions diffusent faussement admiratives le défilé des gens bien élevés qui ont vu l’un des leurs mourir sous les coups des barbares issus de l’immigration. En substance, ils nous refont le coup du “tu n’auras pas ma haine”. On part gentiment d’un endroit pour en arriver à un autre comme la préfecture l’a autorisé auparavant et puis chacun rentre chez soi regarder Nagui. Leur hommage au disparu est encore plus triste que le drame pour lequel ces gens sont là. Leur présence confine à leur propre enterrement, à l’enterrement du peuple français.

Paix, solidarité, accueil… Voilà bien des mots avec lesquels à tous les coups on perd. Et c’est bien pour ça qu’on nous les rentre dans le crâne. Pour qu’on abdique notre droit à vivre sur la terre de nos ancêtres. Pour qu’on devienne nous aussi des déracinés comme ceux qui viennent en France pour tuer avec tant de colère. D’ici ou d’ailleurs, le peuple est destiné à être de nulle part. Le melting pot l’anéantit.

Le maire qui joue à la mère courage mais qui n’est que l’instrument de notre soumission se délecte de la marche blanche. Il croit asseoir sa popularité. Il pourra ainsi construire en tout bonne conscience des HLM aux frais des français auxquels seuls les étrangers pourront accéder. Et ces HLM deviendront des enclaves étrangères qui combattront ce qui reste de France en France.

A l’approche des élections avec le désappointement des électeurs, les mots employés par l’état servent à éviter les actes de fermeté. Le premier ministre Attal est un spécialiste du genre. Emberlificoter le citoyen est son unique mission pour que rien ne change ce qui est sa véritable feuille de route. Il semble qu’en ajoutant au RN, Reconquête et LR, près de la moitié des français ne s’en laisse plus conter. Qu’attendent les autres? Une nouvelle marche blanche.

Frédéric Le Quer

La marche blanche plait au gouvernement. Il méprise ceux qui y participent mais canalise ainsi de potentielles réactions violentes. Tant, pense-t-il, que les dégénérés de français de souche restent polis, leur écrasement se fera plus aisément. Les pleurnicheries ne vont pas avec la révolte. Alors les télévisions diffusent faussement admiratives le défilé des gens bien élevés qui ont vu l’un…

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