Saint Brévin
La maison du célèbre maire de Saint Brévin, Yannick Morez, a, comme tout le monde le sait maintenant, été touchée par un incendie. La discrétion est totale, en revanche, sur ce qui a réellement brûlé. Simplement 2 voitures et un pan de mur, un peu comme à la St Sylvestre ou au 14 juillet dans nos banlieues d’immigration appelées sobrement populaires. Tant mieux pour ce pauvre homme!
Donc d’un coté, un édile immigrationniste qui milite pour l’accueil des migrants en Loire Atlantique pris à partie. De l’autre des français qui refusent de voir mourir leur mode de vie, leur culture, leur langue attaqués par le grand remplacement. Mais les “valeurs de la république” ne seraient remises en cause que par le feu qui a eu lieu! On est cul par dessus tête.
Comment ce maire pouvait-il s’acharner à recevoir des migrants dans sa petite ville des cotes bretonnes? Emmanuel Macron tente de sortir ces gens de la capitale, les répartir partout sur le territoire. Il semble honteux – il n’y a pas d’autre mot – que le monde entier puisse voir au moment des Jeux Olympiques ce que Paris devient. Parallèlement, certains veulent emmerder leurs concitoyens en leur faisant toucher de près la question migratoire quand ils ne la connaissent pas.
Au niveau des services publiques, les provinces françaises ne sont pas gâtées; l’état veut maintenant les insécuriser avec une population imperméable à nos mœurs. Le plaisir de vivre dans la France profonde, celle qui ne change que lentement, vient du bonheur de se sentir français chez soi. C’est pour cela que lors des manifestations à Saint Brévin ou ailleurs, des centaines de villageois défilent pour refuser l’importation massive de migrants que le macronisme leur impose.
Il parait que ces agissements viennent de l’extrême droite ou l’ultra droite. A ce régime n’importe quel voisin d’un hébergement de sans abri peut être taxé d’extrême droite! Le totalitarisme est ailleurs, verticale, en haut. Il s’abat sur les petites gens en les culpabilisant. Avec Emmanuel Macron à la manœuvre, le régime actuel en France sort doucement mais surement de l’éventail des régimes démocratiques pour imposer ses convictions mondialistes de force.
Frédéric Le Quer
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