Drogue chez les dirigeants
Le magistrat Charles Prats, Gilbert Collard, François Asselineau et beaucoup d’autres demandent des contrôles inopinés de consommation de drogue pour les parlementaires, les ministres et le président de la république.
Depuis que le député LFI Kerbrat a été pris la main dans le pot de confiture, si je puis dire, il semble que, sans jouer les pères la pudeur, il serait bon de savoir à quoi s’en tenir à propos de nos dirigeants. Leurs addictions risquent de faire sombrer la France plus profondément qu’elle ne sombre déjà.
Un article de Valeurs Actuelles mentionnait au passage les problèmes personnels d’Emmanuel Macron la semaine dernière. De quoi s’agit-il exactement? Mystère. Mais le président règle-t-il ses difficultés avec de la cocaïne? Ses mimiques et ses tics le démontreraient… Ses dernières interventions grotesques à l’encontre du président israélien Netanyahu semblent les conséquences d’un état physique et psychique amoindri. Ses décisions sont depuis trop longtemps incohérentes.
Nos élus font pour beaucoup l’objet de troubles neurologique et psychiatrique. Les illusions qu’ils se font sur leurs compétences professionnelles ne trompent qu’eux-mêmes. C’est d’ailleurs un effet de la cocaïne. Mais le peuple français a les yeux ouverts et les perçoit comme nuls.
Et puis leurs dérives orgiaques de plus en plus sues sont dans un pays aussi mal en point que la France de plus en plus intolérables. Pour obtenir le respect des autres, il faut d’abord avoir le respect de soi-même. Par exemple, les pratiques de chemsex liées à la condition gay sont complètement hors-normes mais favorisent à l’évidence des liens communautaires… Ne le voit-on pas au plus haut sommet de l’état?
Des contrôles inopinés de la consommation de drogue pour nos dirigeants sont une nécessité mais ils ne se feront jamais. Ils ne vont quand même pas se tirer une balle dans le pied! En attendant les français sont victimes d’incompétents toxicomanes et la république décadente s’abîme inexorablement.
Frédéric Le Quer
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