Elisabeth Borne à Matignon

Elisabeth Borne à Matignon égale aujourd’hui le nombre de jour qu’y a passé Edith Cresson. De ce fait, sa succession serait plus ouverte que jamais. Du come back de Castaner, le tortionnaire des gilets jaunes, à Gérard Larcher, la béquille du pouvoir macroniste, le spectre est trop large pour ne pas laisser entrevoir l’errance politique dans laquelle est Emmanuel Macron.

En attendant, la première ministre dirige toujours un pays où le luxe et la débauche visible d’une classe sociale richissime fait pendant à la misère prégnante d’un peuple luttant avec son porte-monnaie pour manger à sa faim. Le pouvoir d’Elisabeth Borne adjure néanmoins à ces derniers de travailler toujours plus pour les crétins qu’il représente. Avec son air techno et austère, la première ministre s’applique à gouverner par l’injustice sociale grâce à l’état policier dans lequel le président se complet. Sans sa police qui cautionne par son zèle servile l’inique politique actuelle, Emmanuel Macron aurait été depuis longtemps bouté hors de France. C’est une évidence qui n’est jamais rappelée tant elle va à l’encontre de l’illusion démocratique par laquelle les français sont anesthésiés.

Elisabeth Borne a bien mérité du macronisme. Depuis son arrivée, elle n’a de cesse d’appauvrir les classes moyennes. Le FMI vient de classer la France au 25e rang des pays au niveau du produit intérieur brut par habitant ce qui correspond à un rang où les inégalités sociales deviennent monstrueuses puisque la France dans son entièreté est la septième puissance économique mondiale. Elisabeth Borne a aussi bien mérité du macronisme en poursuivant et accélérant l’extinction du peuple français submergé par l’immigration invasive voulue et organisée par les salauds qui détestent la France.

Quand beaucoup de pays d’Europe résistent aussi bien au nord qu’au sud du continent pour conserver leur culture, la politique d’Elisabeth Borne s’attache à détruire ce qui reste de français en France : des aides dirigées vers des nouveaux entrants dont on n’a pas besoin, leur dissémination dans les plus petits villages de nos campagnes, du prosélytisme islamique parrainé par les institutions, des incendies d’églises impunis, des destructions de calvaires au nombre incalculable… Bref rien ne résiste à l’Attila du gouvernement cornaqué par l’Elysée.

Elisabeth Borne à Matignon a respecté les horreurs de la feuille de route macroniste mais sans suffisamment de sourires, d’hypocrisie, de paroles fourbes. Pour accomplir l’oeuvre du diable, Emmanuel Macron veut plus de rondeurs, de bonhomie perfide. La communication est le seul sujet réel de l’Elysée. Elisabeth Borne est un peu trop brut de décoffrage.

Frédéric Le Quer

Elisabeth Borne à Matignon égale aujourd’hui le nombre de jour qu’y a passé Edith Cresson. De ce fait, sa succession serait plus ouverte que jamais. Du come back de Castaner, le tortionnaire des gilets jaunes, à Gérard Larcher, la béquille du pouvoir macroniste, le spectre est trop large pour ne pas laisser entrevoir l’errance politique dans laquelle est Emmanuel Macron.…

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