L’affaire Lola
L’affaire Lola n’est pas reprise par tous les médias. La fameuse Dahbia B., la criminelle, est bien trop imprégnée de croyances occultes complètement folles liées à la religion et au racisme pour ne pas remettre en question cette immigration de gens venant parfois du moyen-âge et d’un seul coup projetés au XXIe siècle.
C’est ainsi que Dahbia B. explique que le sacrifice d’un bébé blanc permet de trouver un trésor en fonction de la direction que prend le sang de la pauvre victime. C’est ainsi que Dahbia B. voit dans ses horreurs un parallèle avec l’aïd et le sacrifice d’un mouton ce qui en soit n’est pas si fou puisque, avant Abraham, la bible expose bien qu’il s’agissait d’un enfant qui était offert à Dieu.
Si le marquis de Sade aurait évidemment pu être appelé à la rescousse de cette horreur, il est totalement inconnu de l’accusée. Elle vit apparemment avec un islam interprété à sa sauce lui permettant toutes les débauches imaginables avec la drogue en catalyseur. C’est d’ailleurs peut-être sa vie dépravée et mal acceptée qui l’a menée à de telles extrémités.
La pauvre Lola a croisé ce démon. Tête fracassée, pénétrations vaginales et anales profondes, pour finir par une détresse respiratoire. L’enfant a agonisé, uriné avant de mourir au milieu du couloir dans des souffrances atroces, bâillonnée d’un gros scotch gris. Le cœur a enfin fini par s’arrêter. C’est alors que le corps a été transportée dans Paris dans une valise. On ne comprend pas bien pourquoi. On sait juste que la criminelle était aussi calme qu’un boucher dans un abattoir après avoir fait son travail.
L’OQTF de Dabhia B. était amplement justifiée. Sa non application est une honte pour l’administration française. Combien d’OQTF non appliquées à l’heure actuelle font prendre des risques aux honnêtes citoyens qui sortent dans les rues de France. Mais l’affaire Lola ne fera pas prendre conscience à notre administration de son impéritie. La peine de mort aurait pu apparaître comme une vengeance, maigre vengeance de la société mais salutaire vengeance. On n’aura hélas pas cette issue. Tout part à vau-l’eau. Cette affaire Lola en est une énième preuve.
Frédéric Le Quer
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