
Pour sauver ce qui reste du peuple français
Pourquoi la classe dominante s’acharne-t-elle sur le peuple français? La question mérite d’être posée car, depuis près d’une cinquantaine d’années, elle organise sa disparition. Le processus arrive maintenant à son terme.
D’abord, historiquement la classe dominante a peur du peuple français, confer la révolution de 1789, puis celles qui ont émaillées le XIXe siècle, sans pitié à l’égard des dirigeants.
Mais revenons à l’histoire contemporaine! Paradoxalement l’enrichissement du peuple au cours des trente glorieuses a été le meilleur moyen pour s’en débarrasser. Une alliance objective s’est alors mise en place entre le patronat et les représentants de gauche. Je l’ai vue à Saint Denis par exemple mais toute la banlieue rouge en a été victime comme aussi la banlieue lyonnaise, le nord, etc…
Il s’est passé la chose suivante : Le parti communiste ne pouvait plus se maintenir dans ses fiefs électoraux avec l’embourgeoisement dont jouissait sa population d’origine (disparition des bidonvilles, appartements plus agréables à vivres, vacances, voiture…). Des études scolaires de bon niveau conjuguées à des revenus décents gentrifiaient les banlieues pauvres avant et allaient finir par faire disparaître les caciques du système originel.
Il fallait faire partir cette population embourgeoisée et la remplacer. Les maires détruisirent les centres-villes avec leurs petits immeubles sans chercher le moins du monde à les réhabiliter. C’est un peu de notre patrimoine architecturale ouvrier qui partit ainsi en poussière. Avant de reconstruire, on déporta les français de souche ailleurs, en grande banlieue d’abord en province ensuite. On bétonna largement dans le style brutaliste. Et petit à petit, au niveau national, la droite puis la gauche au pouvoir importèrent une population venue du tiers monde.
Ainsi s’y retrouvèrent le patronat avec une main d’oeuvre sans qualité mais taillable à merci et la gauche avec un électorat futur qui petit à petit devenant « français » grâce à des lois de naturalisation laxistes, sans exigence, allait lui permettre de se maintenir au pouvoir.
Depuis les analystes du think tank Terra Nova ont poussé à fond leur réflexion pour promouvoir le statut d’immigré à celui de faiseur de roi de France.
Il se passe de nos jours que les classes dominantes elles-mêmes ne se sentent plus chez elles dans leur propres pays comme le peuple français de souche depuis de nombreuses années, nonobstant la propagande mondialiste dont Macron est un représentant. Ce phénomène amène vers un changement d’attitude envers notre immigration de miséreux, de cas sociaux, de cas pathologiques. N’importe quel français riche ou pauvre est dorénavant susceptible de passer sous les fourches caudines d’envahisseurs totalement ingérables.
Il n’est jamais trop tard pour faire marche arrière. Le mot remigration est entrain de prendre la place qu’il mérite dans le débat politique. Ce qui reste du peuple français tente de relever la tête. Depuis des siècles des mouvements de flux et de reflux ont marqué le bassin méditerranéen. Il faudrait pour s’en sortir que le reflux commence vite.
Frédéric Le Quer
Pourquoi la classe dominante s’acharne-t-elle sur le peuple français? La question mérite d’être posée car, depuis près d’une cinquantaine d’années, elle organise sa disparition. Le processus arrive maintenant à son terme. D’abord, historiquement la classe dominante a peur du peuple français, confer la révolution de 1789, puis celles qui ont émaillées le XIXe siècle, sans pitié à l’égard des dirigeants.…