Bolloré

La commission parlementaire qui a interrogé Vincent Bolloré hier est présidé par un dénommé Quentin Bataillon de Renaissance qui si j’ose dire, est inconnu au bataillon. Aurélien Saintoul de LFI en est le rapporteur. Trois glands d’ultra gauche élus par des clochards et un ex dealer pro islamiste étaient particulièrement à la manœuvre. Pauvre France!

Peu importe la qualité de l’intervention du capitaine d’industrie. Une alliance islamo-gauchiste et macroniste a déjà décidé du sort de CNews. Les arguments de Vincent Bolloré ne compte pas. Seule une large mobilisation en faveur de la démocratie pourra peut-être sauver la chaîne, et encore, à condition qu’elle cède sur l’essentiel. C’est fou cette histoire! N’importe qui a le droit d’écouter BFM, LCI ou France Info. Personne n’est obligé de regarder CNews. Mais le tort de la chaîne est d’être suivie. Sa ligne éditoriale souverainiste, sécuritaire, souvent critique vis à vis de l’UE plait incontestablement. Et en macronie, c’est interdit, c’est même passible de la peine de mort, de l’écran noir. Le droit de s’opposer au pouvoir avec des moyens médiatiques d’envergure est impossible.

Cnews va petit à petit reconnaître son crime sous la menace d’être privé d’antenne. La préparation psychologique des français est en cours et va durer jusqu’à l’année prochaine. Tout est préparé d’avance. La parodie de commission parlementaire sert à justifier un futur marqué par la censure. La désaffection de l’opinion publique vis à vis du pouvoir a besoin d’un bouc émissaire. Il s’agit d’en faire porter le chapeau à un média d’opposition trop populaire. Sous la façade de l’état de droit, on assiste à un débat complètement truqué. Ceci a un nom: procès stalinien.

Vincent Bolloré a beau s’être montré calme, compétent, avec un QI sans doute équivalent à l’addition des QI des excités qui l’interrogeaient, son sort était scellé avant même qu’il n’arrive.

Paraphrasons Alice au pays des merveilles : “Taisez-vous!” dit Emmanuel Macron. “Je ne me tairai pas” dit en substance Bolloré. “Qu’on lui coupe la tête”, hurla le président. Voilà la France des années 2020!

Frédéric Le Quer

La commission parlementaire qui a interrogé Vincent Bolloré hier est présidé par un dénommé Quentin Bataillon de Renaissance qui si j’ose dire, est inconnu au bataillon. Aurélien Saintoul de LFI en est le rapporteur. Trois glands d’ultra gauche élus par des clochards et un ex dealer pro islamiste étaient particulièrement à la manœuvre. Pauvre France! Peu importe la qualité de…

2 Comments

  1. Pourquoi ne pas se rebeller..macron avait donné le ton en virant le général..qui s en est offusqué??
    Personne..même les militaires ont acceptés..on a cassé l école avec le genre ..plus de sécurité..l France qui rayonnait dans le monde !!! Plus rien..et maintenant la guerre ..jusqu a quand les francais vont ils accepter

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