Impact sur la nature
L’impact sur la nature des dégâts provoqués par les Etats-Unis partout dans le monde, chez eux ou ailleurs, devient alarmant. Les gentils doivent vite se reprendre au risque de passer pour des méchants (réthorique gouvernementale!!!) à l’égal des chinois, des russes ou des iraniens.
En effet, l’impact sur la nature des fuites des gazoducs Northstream 1 et 2 dans la Baltique est grave et il est maintenant prouvé, même si la commission européenne et nos médias refusent de l’entendre, que le sabotage vient des services secrets américains. TV5monde, réseau francophone mondial de télévision détenu en majorité par la France informait, avant que la responsabilité américaine ne soit avérée, que le sabotage “pourrait anéantir certains des efforts consentis par la passé pour réduire les émissions de gaz à effets de serre” ajoutant que ça mettrait 20 ans avant que ça ne se traduise sur le climat. La hausse des concentrations de méthane dans l’atmosphère aura localement un effet sur la qualité de l’air. “Le méthane est un gaz au pouvoir réchauffant 84 à 87 fois plus puissant que le CO2 sur vingt ans”.
Le 3 février dernier, la catastrophe ferroviaire survenue dans l’Ohio, a entraîné un nuage de fumées toxiques se dégageant du convoi de marchandises qui a pris feu. Le chlorure de vinyle dont il est composée, est un gaz incolore hautement inflammable qui peut, lorsqu’il brûle, créer une substance très toxique qui a notamment servi d’arme chimique durant la Première Guerre mondiale. Quelque 3 500 poissons sont notamment morts selon le département local des ressources naturelles. Il apparaît maintenant que davantage de substances toxiques, de produits chimiques dangereux, ont été libérées que ce qui a été avoué au départ. L’impact sur la nature de l’accident laisse maintenant craindre une catastrophe écologique d’ampleur dans l’hémisphère nord.
En Floride, vendredi dernier, un violent incendie s’est déclaré dans la centrale d’énergie renouvelable de Doral. Les habitants du Comté de Miami-Dade doivent s’enfermer chez eux du fait de la toxicité des fumées produites. Ce type d’accident industriel arrive régulièrement.
Si les médias minimisent en l’ignorant en grande partie cette problématique, on ne peut plus écologique, nos verts sont totalement muets sur la question. On les sait complètement nuls et personne n’est donc surpris. Ils préfèrent s’attaquer aux voitures des pauvres gens. En attendant comme dit Jacques Chirac, “notre maison brûle et nous regardons ailleurs”.
Frédéric Le Quer
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