La fête nationale
Dans les nuits du 13 et 14 juillet, un premier décompte fait état de 193 interpellations et 473 véhicules brûlés. Le gouvernement et ses médias traduisent le bilan de la fête nationale en saluant un moment “calme” ajoutant que la baisse des dégradations est importante par rapport à l’année dernière! Décidément tout est relatif!
Personne n’imaginerait aux Etats-Unis de tels résultats au moment des festivités du 4 juillet, leur fête nationale à eux. Ici, avec 45 000 policiers et gendarmes mobilisés, l’ordre a néanmoins du mal à être respecté. Le pays venait d’être mis à feu et à sang et comme pour les répliques d’un tremblement de terre, la nouvelle secousse a été plus faible. Il n’en demeure pas moins qu’on est sur une faille sismique, celle de l’anti-France, celle des ennemis de l’intérieur, celle de l’immigration outrancière interdisant l’assimilation des nouveaux habitants aux valeurs républicaines.
Le président de la république pétrifié ne trouve plus ses mots et se tait. Son silence dénote à quel point l’exécutif est dépassé. Emmanuel Macron pour qui l’immigration n’a jamais été un sujet, vient de se prendre un direct en pleine face. Il est groggy. Les huées accompagnent sa descente des Champs Elysées. Les chevaux de la garde républicaine n’en sont pas revenus! Des militaires partout au garde à vous le long de l’emblématique avenue parisienne tentaient de cacher ces français révoltés que le président ne saurait voir. Ce cordon sanitaire a permis à l’oligarchie de rester entre elle. Même Marlène Schiappa qui a déshonoré la mémoire d’un professeur décapité, pouvait faire des selfies avec des invités triés sur le volet.
La fête nationale a été annulée un peu partout en France pour complaire aux étrangers ou assimilés installés sur son sol et pour ne pas leur laisser de motifs pour tout casser. Quand plus rien ne restera de français en France, ce sera comme là-bas. Notre défaite sera entérinée. Il faudra fuir, mais où?, ou se soumettre.
Frédéric Le Quer
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