Le président Kais Saied

Les ivoiriens vivant en Tunisie demandent à être rapatriés chez eux. Le président Kais Saied craint le grand remplacement dans son pays et dénonce l’arrivée de hordes de migrants clandestins à l’origine de violences et d’actes inacceptables sur le sol tunisien. Son peuple qui tient particulièrement à son identité – pourquoi le lui reprocher? – rend à la suite de ces propos, la vie des subsahariens impossibles.

La bien pensance européenne qui s’était réjouie de la révolution tunisienne, la seule ayant réussi à rendre l’état plus démocratique entre toutes les révolutions arabes, n’a pas de mots assez durs pour qualifier maintenant le président tunisien. Il a le malheur de vouloir voir sa culture respectée et durée. Crime de lèse majesté dans nos sociétés woke qui ne connaissent plus que la politique culturelle de la terre brûlée!

Un homme d’état musulman ne veut pas faire table rase du passé de son pays, le dit haut et fort et fait en sorte de joindre les actes à la parole, chose invraisemblable en France, par exemple. Il prend ainsi le risque de voir déstabiliser la Tunisie par des forces étrangères qui peuvent créer la division au sein du peuple pour alimenter la discorde et fomenter la sédition. C’est la tactique de l’occident partout dans le monde de l’Afrique à l’Ukraine quand un régime ne lui plait pas.

Sans plus de mortalité infantile grâce à des programmes lancés par des milliardaires comme Bill Gates, mais qui en parallèle n’ont strictement rien fait pour restreindre les naissances, n’ont rien fait en faveur de la contraception, l’Afrique subsaharienne est évidemment devenu un risque démographique et culturelle pour toute la planète. Ceux qui s’en alarment, d’où qu’ils viennent, comme le président Kais Saied, sont traités de racistes. Ceux qui ne s’en alarment pas devront être jugés un jour pour crime contre l’humanité, sa diversité, ses modes de vie différents, ses multiples croyances qui font la richesse de la Terre.

Frédéric Le Quer

Les ivoiriens vivant en Tunisie demandent à être rapatriés chez eux. Le président Kais Saied craint le grand remplacement dans son pays et dénonce l’arrivée de hordes de migrants clandestins à l’origine de violences et d’actes inacceptables sur le sol tunisien. Son peuple qui tient particulièrement à son identité – pourquoi le lui reprocher? – rend à la suite de…

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