Puni par où on a péché

On est puni par où on a péché. Ainsi les maux d’Emmanuel Macron et du parti Renaissance sont les conséquences de leurs fautes. Le président a abandonné la France au point qu’un philosophe comme Michel Onfray affirme que le chef d’état ne l’aime pas. Sa politique migratoire tendant à donner à n’importe qui dans n’importe quelle condition la nationalité française démontre, en tout cas, le peu de cas qu’il fait de ce qui fut un honneur.

Mais se rendant compte que le problème du flux invraisemblable d’étrangers – c’est la mère de toutes les batailles – ne se résoud pas, le gouvernement ne tente pas d’arrêter l’immigration mais s’essaie à des solutions pour la rendre soluble dans la république. Cours d’empathie, couvre-feu, internat n’ont en réalité qu’un seul but : poursuivre l’invasion migratoire.

La répartition des migrants à travers toute la France n’a aussi qu’un seul but, indépendamment de l’histoire des J O : poursuivre l’invasion migratoire en lui donnant moins de visibilité. Le résultat est qu’au contraire une France profonde qui se voulait accueillante tant qu’elle n’accueillait personne, est attaquée de front par des nouveaux arrivants qui sabotent sa qualité de vie. Ces français n’en peuvent plus. Provinciaux, paysans, retraités s’apprêtent à voter RN. Habitants des métropoles aussi.

Électoralement les conséquences sont pour Renaissance catastrophiques. Pour échapper à l’échec programmé, Emmanuel Macron a d’après Libé l’idée de pousser Reconquête vers le haut pour diminuer le poids électoral du Rassemblement National. Vue plutôt niaise car qui ne fera pas au lendemain du scrutin l’addition des voix souverainistes? Ces partis si les portes du pouvoir s’ouvrent, s’uniront.

Autre angle de riposte avec la propagande : les éditorialistes de BFM, Macron idolâtres, se mettent en ordre de bataille. L’un d’entre eux s’insurgeait ce matin contre le réel et exigeait que les problèmes de l’Europe, abscons forcément, soient au cœur d’une campagne instructive pour en relever le niveau. Ainsi vilipendait-il les partis qui osaient s’en prendre à l’insécurité ou à la GPA! Pour ce propagandiste, mettre en exergue le drame des ados dont le vie est actuellement bouleversée par la violence à laquelle ils doivent faire front, est de la démagogie! Pour lui critiquer la marchandisation du corps des femmes pour permettre à des homosexuels d’avoir des enfants blancs au lieu d’aller adopter des petits malheureux en Asie ou en Afrique est du populisme.

De tels arguments n’atteindront heureusement personne. Le type se fait bien voir du pouvoir et de ses collègues – pas comme celui du service public qui participa à une biographie de Bardella! -. Ce blabla devient l’écume des choses tant le réel est prégnant et tragique.

Ainsi la chronique gouvernementale du mensonge se heurte à la dégradation palpable de la condition humaine française. L’espoir est maintenant que ce soit le début d’une fin rapide du macronisme puisqu’on est souvent puni par où on a péché!

Frédéric Le Quer

On est puni par où on a péché. Ainsi les maux d’Emmanuel Macron et du parti Renaissance sont les conséquences de leurs fautes. Le président a abandonné la France au point qu’un philosophe comme Michel Onfray affirme que le chef d’état ne l’aime pas. Sa politique migratoire tendant à donner à n’importe qui dans n’importe quelle condition la nationalité française…

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