Les émeutes à Givors
Un peu plus de vingt mille âmes habitent Givors, municipalité du Rhône à 20 kilomètres de Lyon. Dès le premier siècle l’endroit est habité par des gaulois. Au moyen-âge, l’église de Lyon détient la ville. Un canal rejoignant le Rhône à la Loire participe de l’expansion économique à partir du XVIIe siècle. Bouché, il sera remplacé par une autoroute au XXe siècle. L’industrialisation aura enrichi Givors permettant à une immigration italienne puis portugaise et enfin algérienne de travailler. La désindustrialisation a laissé place à de grands centres commerciaux. Une communauté turque est installée dans la ville.
Le maire EELV Mohamed Boudjellaba est élu grâce aux divisions de la droite. Qui dit EELV, ne dit guère rigueur sécuritaire. C’est ainsi que Givors est victime de fréquentes émeutes. Des véhicules de chantiers étaient incendiés la semaine dernière. Au tour de ceux de la police cette semaine en représailles à l’interpellation de deux délinquants mineurs. Mais toutes les raisons semblent bonnes, le maire ne se montrant guère concerné par les agressions successives de personnes âgées en centre-ville ou d’un sapeur-pompier finissant son service (informations groupe Facebook “Givors libre”).
L’ensauvagement progressif mais incontestable de Givors au point d’intéresser les médias nationaux, est représentatif des dégradations des conditions de vie que connait la France entière en grande partie à cause d’une immigration délirante et de l’absence totale de mesure pour exiger la moindre intégration de la part des nouveaux venus. La violence que les grandes villes et leurs agglomérations connaissaient depuis longtemps, la France profonde la découvre. Elle la découvre grâce à cette fameuse répartition des immigrés voulue par Emmanuel Macron et cette fameuse expression “chacun doit prendre sa part du fardeau”.
Et le fardeau est terriblement lourd. Et ce fardeau, la province ne le supporte plus. Ce phénomène devrait enfin entraîner un changement drastique de politique migratoire grâce à des élections enfin favorables aux souverainistes.
Frédéric Le Quer
Un peu plus de vingt mille âmes habitent Givors, municipalité du Rhône à 20 kilomètres de Lyon. Dès le premier siècle l’endroit est habité par des gaulois. Au moyen-âge, l’église de Lyon détient la ville. Un canal rejoignant le Rhône à la Loire participe de l’expansion économique à partir du XVIIe siècle. Bouché, il sera remplacé par une autoroute au…