La rentrée scolaire
Pour ce jour de rentrée scolaire, aucun parent n’attend grand chose de la part de l’éducation nationale tant elle se discrédite avec acharnement. Si les français de souche gardent le même niveau que les petits coréens ou les petits japonais, les autres plombent la moyenne d’à peu près tout ce qui est calculé, – calcul, math, français , QI -. Ceux qu’on appelait les chances pour la France, tirent le pays vers le bas par leur culture, leur environnement familial, leur rejet du système éducatif. Quant aux élèves qui parlent français chez eux et dont le niveau d’instruction des parents est “normal”, ils seront plombés par les autres si ils vivent dans la mixité sociale, sinon leur cursus peut tout à fait être correct. Tous les politiciens français le savent et leurs enfants de Pap N’Diaye à François Hollande vont dans du privé ou dans un grand lycée du 7e arrondissement de Paris pour éviter les boulets dont la famille vient de l’étranger. ça ne les empêche pas de promouvoir la mixité mais pour les autres. Pour paraphraser Saint Exupéry et le Grand Orient de France, ils pensent avec raison d’ailleurs que si tu diffères trop de moi, frère, loin de m’enrichir, tu me désavantages!
L’inégalité est dorénavant à son comble. Un élève intelligent d’une famille médiocre aura le plus grand mal à s’en sortir. Il fut pourtant un temps où des enfants de familles ouvrières de Saint Denis faisait polytechnique ou médecine. Le renouvellement des élites est au point mort. On le voit avec les gens de télévision où tous les jeunes sont des enfants de! C’est aussi le cas dans le monde politique ou celui des affaires. Le déterminisme social est devenu un drame pour la France. La rentrée scolaire se polarise, à cause de cette immigration de niveau très bas qui nous caractérise, sur l’abayas au lieu d’être basée sur l’instruction. L’immigration outrancière mise en branle par Emmanuel Macron n’apporte que des difficultés et strictement aucun avantage.
Une partie du territoire français finira par se soumettre à l’éducation en cours en Afrique noire ou dans les pays musulmans. On sait ce qu’il en ressort : des pays déclassés, corrompus, obscurantistes, inexorablement à la traîne. Aucun espoir. Cette rentrée scolaire marque donc la partition du territoire avec d’un coté un enseignement peu exigeant où les élèves seront voués au trafic de drogue, à l’ubérisation, au chômage et de l’autre une instruction élitaire qui ne s’adresse pas forcément aux plus intelligents mais aux plus favorisés socialement.
Frédéric Le Quer
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