C’était mieux avant

Un nouvel aspect du “c’était mieux avant” est décrit par France Culture. Evidemment la radio chantre du politiquement correcte ne présente pas ainsi son reportage. Mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit de la mise en avant d’un glorieux passé avec lequel le présent est incapable de rivaliser au moins à cause de ceux qui dirigent incompétents, malhonnêtes, imbus d’eux-mêmes. Les mots finissent par manquer, tant rien ne va!

Influencer et peser sur les relations internationales grâce au patrimoine culturel historique de la France est le défi que se donne le gouvernement. L’enquête journalistique de ce matin mettait en avant l’importance des collections du musée Guimet dans notre relation avec la Chine mais évidemment il aurait pu être question de l’institut du monde arabe, du musée des arts premiers, du Louvre, d’Orsay, etc… La diplomatie de la culture vise ainsi à orienter les décisions des autres acteurs internationaux. Ce soft power tente de cacher la perte de poids de la France. Faute d’une parole forte, ferme, audible sans “en même temps”, il nous reste des statues en terre cuite Tang ou la porcelaine blanc bleu pour discuter avec les dirigeants de Pékin.

Le médiocre présent est compensé par le glorieux passé. Les dirigeants français comptent sur lui pour conserver un certain aura. Le miroir de notre déclin reflète notre pays en lambeaux qui s’accroche à ce “c’était mieux avant” sans oser le dire tout haut.

L’absurde politique immigrationniste d’Emmanuel Macron, sa politique économique médiocre, sa politique européiste assez minable quand on comprend que le président ne la justifie que par l’absence totale de confiance en une France forte et indépendante, bref tous ces échecs ternissent l’image de notre pays. La seule chose pour redorer son blason reste encore ce qui a été réalisé bien avant Macron, sa culture millénaire, ne lui en déplaise.

Frédéric Le Quer

Un nouvel aspect du “c’était mieux avant” est décrit par France Culture. Evidemment la radio chantre du politiquement correcte ne présente pas ainsi son reportage. Mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit de la mise en avant d’un glorieux passé avec lequel le présent est incapable de rivaliser au moins à cause de ceux qui dirigent incompétents, malhonnêtes, imbus…

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