La mort du principal
La mort du principal d’un collège de Lisieux en zone prioritaire se veut une énigme. Après une alarme qui sonne dans le collège, une porte fracturée, une lumière allumée dans une salle et une voiture qui passe en trombe à proximité, chacun se demande si la victime arrivée sur place par conscience professionnelle n’est pas morte d’une mort plus ou moins naturelle! On préférerait visiblement…
Le mystère s’épaissit avec un médecin légiste soit complètement nul, soit à qui il a été demandé de se taire. En tout cas officiellement il ne sait rien et nous fait un remake à lui tout seul des trois singes où l’un se tait, l’autre ferme les yeux et le troisième se bouche les oreilles. Officiellement l’enquête scientifique continue pour savoir si le pauvre homme décédé n’était pas toxicomane ou alcoolique. C’est effrayant mais les journalistes racontent ça avec le plus grand sérieux. Si ça ce n’est pas l’honneur d’un homme jeté aux chiens…
Une piste politique néanmoins apparaît avec le tweet de la nièce de la victime dont on ne sait pas si elle est en service commandé ou agit de son propre chef. Je cite: “J’ai tellement peur que l’attaquant ne soit pas blanc et que sa mort soit récup par l’extrême droite. Ya pas pire que de voir une mort instrumentalisée à des fins politiques atroces”. Atroces, atroces, la mort du principal de collège n’est-elle pas atroce? Visiblement la priorité de la nièce n’est pas de rendre justice à son oncle. L’important est qu’on ne sache pas que c’est quelqu’un issu de l’immigration qui pourrait l’avoir tué. La pauvre fille est complètement lobotomisée par les discours de la NUPES!
Je conseille avec le plus grand sérieux aux immigrés aux visées criminelles de s’en prendre à des gens de gauche plutôt que de droite. Leur entourage se moquera de la vérité et si, à cause du zèle de la police -ah cette police empêcheuse de tourner en rond! -, elle devait apparaître au grand jour la famille du défunt ou du blessé trouverait suffisamment d’excuses pour ne pas enfoncer l’agresseur.
Un petit indice pour finir concerne les écoles, lycées et collèges de France. Plus de cinquante d’entre eux ne rouvriront pas à la rentrée suite aux émeutes qui ont suivi la mort de Nahel. Ces établissements et leurs dirigeants n’ont pas l’heur de plaire à la diversité!
Frédéric Le Quer
La mort du principal d’un collège de Lisieux en zone prioritaire se veut une énigme. Après une alarme qui sonne dans le collège, une porte fracturée, une lumière allumée dans une salle et une voiture qui passe en trombe à proximité, chacun se demande si la victime arrivée sur place par conscience professionnelle n’est pas morte d’une mort plus ou…