Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy aura constitué une longue déception ininterrompue pour ceux qui, comme moi, l’ont élu président de la république en 2007.

Alors que ses électeurs attendaient une droite forte, il n’a eu de cesse que de s’attribuer les bonnes grâces de la gauche. Alors que les électeurs ne voulaient plus du chemin politique que l’Union Européenne prenait, il l’a imposé de force aux français. Et puis il s’est moqué d’eux au moment de la crise des subprime dépensant sans compter l’argent que la France n’avait déjà plus pour tenter d’être réélu en 2012. Il les a bernés en invoquant les paradis fiscaux comme cause du mal alors que celui-ci était bien plus complexe et profond. Et surtout Nicolas Sarkozy a laissé croître et prospérer l’immigration pendant tout son mandat au mépris de ses promesses.

Comme de juste, son come back en 2016 fut un échec cuisant. Et maintenant il fait honte à la France en venant d’être condamné par la cour d’appel de Paris à trois ans de prison dont un ferme sous bracelet électronique à domicile pour une affaire où il se faisait appeler Bismuth. Le président français qu’il fut, ne doit qu’à la bonne composition du président du tribunal de ne pas avoir aujourd’hui à la cheville accroché l’ignominieux bracelet. Ce dernier a rendu le recours en cassation suspensif. Parions que Nicolas Sarkozy ira aussi s’il le faut, devant la cour européenne des droits de l’homme! C’est déjà écrit.

Mais la justice continue de le poursuivre pour d’autres sujets. Ses problèmes judiciaires sont infinis. Et qui peut croire sérieusement malgré la propagande médiatique qu’il est innocent et simplement victime du pouvoir judiciaire? Dans l’espoir d’interventions en sa faveur, l’ex président aux casseroles s’accoquine maintenant avec l’actuel président aux casserolades. ça fait un beau couplé d’ennemis de la France. Quelle déchéance tout ça pour notre pays!

Frédéric Le Quer

Nicolas Sarkozy aura constitué une longue déception ininterrompue pour ceux qui, comme moi, l’ont élu président de la république en 2007. Alors que ses électeurs attendaient une droite forte, il n’a eu de cesse que de s’attribuer les bonnes grâces de la gauche. Alors que les électeurs ne voulaient plus du chemin politique que l’Union Européenne prenait, il l’a imposé…

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