De la francophobie au francocide

A part la glorieuse victoire de l’équipe de France contre les anglais qui a vengé Trafalgar, le weekend s’est polarisé sur le francophobie de nos chances pour la France. De la francophobie au francocide il n’y a qu’un pas, pas franchi à Bezons cette fois où un vieux monsieur qui se prénommait Jean, s’est fait tuer par Hichem et Mohamed .

La mairesse de Bezons musulmane pleure non pas le pauvre bezonnais mort à la suite de ses blessures, mais sur l’amalgame qui est fait entre délinquance et immigration. Même si cette femme du parti socialiste semble sincèrement émue, son attitude, sans qu’elle ait l’air de s’en rendre compte, est assez odieuse, la victime passant ainsi par pertes et profits de la politique migratoire. Mais ce francocide n’est que la suite logique de la francophobie ambiante dans le milieu des immigrés maghrébins.

Plus largement, leur phobie de l’occident les mène en ce moment à chaque occasion sportive, forcément sportive puisqu’ils refusent de s’instruire, à casser, piller, violer, massacrer. Depuis que le Maroc gagne au foot, de grandes villes d’Europe sont à feu et à sang à cause de gens se sentant plus marocains, algériens ou palestiniens que français, belges, hollandais ou espagnols alors que souvent leur pièce d’identité prouve le contraire. Les français de papiers ne sont décidément pas un mythe.

Quelque soit le résultat de France Maroc, ce sera la guerre mercredi à Paris et en province. Pratiquement tous ceux qui ont été interpellés par la police samedi soir, sont ce matin dans la nature. Avec un tel laxisme judiciaire, il n’y a aucune raison que ces supporteurs ne se gênent et ne recommencent pas leurs exactions contre ce qui est français.

La presse quand elle veut bien traiter le sujet, s’étonne de cette francophobie (où vivent ces gens pour s’étonner?) et les politiciens lui reproche de jeter de l’huile sur le feu. Ce consternant jeu de dupes incite les français à se recroqueviller chez eux pour ne pas être brutalisés par les envahisseurs en sachant bien qu’ils ne peuvent plus compter sur l’état pour les protéger.

Nous boirons un verre de vin à la santé de l’équipe de France entre nous, entre français, en pensant à Jean qui, en allant chercher une bonne bouteille dans sa cave, a eu le malheur de croiser ses assassins.

Frédéric Le Quer

A part la glorieuse victoire de l’équipe de France contre les anglais qui a vengé Trafalgar, le weekend s’est polarisé sur le francophobie de nos chances pour la France. De la francophobie au francocide il n’y a qu’un pas, pas franchi à Bezons cette fois où un vieux monsieur qui se prénommait Jean, s’est fait tuer par Hichem et Mohamed…

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