Justice nulle part!

Un fait divers judiciarisé a lieu actuellement à Saint Mandé, petite ville tranquille à la limite de Paris à l’est, au bord du bois de Vincennes. Dans un genre différent, il fait penser à la décision de justice prise par le tribunal administratif de Paris qui a suspendu l’expulsion du prédicateur marocain Hassan Iquioussen.

Des locaux appartenant à la mairie sont un beau jour occupés illégalement par une quinzaine d’individus affiliés à une association nommée “Méricourt” dont le but officiel est de mettre l’art et la culture à la portée de tous. En fait les membres de ce collectif issus de l’immigration africaine viennent d’être délogés d’un squat à Joinville Le Pont et jettent leur dévolu sur ce nouvel abri.

La mairie dépose immédiatement une plainte transmise au parquet qui ne daigne cependant pas reconnaitre le délit de flagrance de manière à expulser tout ce petit monde immédiatement. Le parquet pourtant tenu de conduire l’action pénal au nom des intérêts de la société s’est laissé berner par un justificatif concernant l’ouverture d’une boxe (on peut l’ouvrir de n’importe où pour n’importe quelle adresse!) et par une photo horodatée des locaux (sur n’importe quel appareil, l’heure et la date sont changeables à merci!). Des mois de procédures vont maintenant commencer.

Si cette histoire m’a fait penser à celle de l’imam c’est que j’y ai vu le même état d’esprit de la part de la justice française au siège ou au parquet. Tout le monde sait que cette association est dans la plus totale illégalité, qu’elle ment et qu’elle s’est faite une spécialité d’occuper des locaux illégalement. Et notre justice  qui n’en est à l’évidence pas une, fait semblant de croire les allégations de ce collectif qui va maintenant pouvoir pourrir la vie  du quartier pendant un bon bout de temps et par la même occasion le dévaloriser.

Pour Hassan Iquioussen, c’est la même chose. Il rapporte des dires qu’il a certes tenus mais auxquels il ne croit pas un seul instant (personne n’est dupe) et qui n’existent que pour tromper. La justice française se croit tenu d’être trompée et se base en grande partie la dessus pour rendre une jugement en sa faveur. Naïveté? Bêtise? Probablement ni l’un ni l’autre. C’est pire. Le juge est simplement de mauvaise foi. Un biais politique mondialiste immigrationniste entraîne des décisions iniques, des décisions qui nuisent à la sécurité des français.

La justice en France est en train de devenir un organe de déstabilisation de la société.

Frédéric Le Quer

Un fait divers judiciarisé a lieu actuellement à Saint Mandé, petite ville tranquille à la limite de Paris à l’est, au bord du bois de Vincennes. Dans un genre différent, il fait penser à la décision de justice prise par le tribunal administratif de Paris qui a suspendu l’expulsion du prédicateur marocain Hassan Iquioussen. Des locaux appartenant à la mairie…

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