Les derniers jours d’Emmanuel Macron

Les derniers jours d’Emmanuel Macron débutent. Le système le lâche. Le Monde lui prête des propos homophobe et xénophobe, les deux mamelles de la disgrâce radicale. France Info par politesse, ils se sont tant aimés, emploie encore le futur qui sonne au présent, en laissant dire que « la question de la démission d’Emmanuel Macron se posera très rapidement ». Son impopularité pourrait difficilement être pire.

Lui-même se crispe. Celui dont les paroles sont insaisissables en disant tout et son contraire, se veut très clair sur son mandat qui ira jusqu’à la dernière heure. Comme pour le prouver, pour son conseil des ministres plutôt fantomatique, il a fait installer de nouvelles chaises au dossier chiffré RF avec la sienne pour se différencier en lettres d’or. S’il cherche tant à montrer son pouvoir par des babioles comme, autre exemple, se faire toujours servir en premier au moment des repas, c’est évidemment qu’il l’a déjà perdu. Il ne lui reste que des symboles creux rappelant une monarchie discréditée.

Ce serait presque émouvant si on ne se souvenait des gilets jaunes sur lesquels il avait donné à l’armée l’autorisation de tirer. Ce serait presque émouvant si on ne constatait jour après jour l’insécurité endémique qui fait des rues de France des coupe-gorges par sa faute, par le laxisme judiciaire qu’il favorise. Ce serait presque émouvant si il n’avait pas après Sarkozy et Hollande continué à détruire les finances françaises. Ce serait presque émouvant si depuis 7 ans il n’avait tenté de verrouiller l’information en ne laissant la place qu’à la bien pensance. Ce serait presque émouvant s’il n’avait de la France aucune espèce d’affection charnelle. Ce serait presque émouvant s’il ne s’était acharné à grand-remplacer le peuple français.

Les derniers jours d’Emmanuel Macron sont détestables parce qu’il va tout faire pour faire durer l’agonie. Il continue de refuser de se soumettre pas à la volonté populaire qui ne supporte plus l’immigration, qui ne supporte plus la légèreté des juges vis à vis des bourreaux, qui ne supporte plus le déclassement du pays. François Bayrou est l’ultime fusible qui peut sauter avant la fin janvier. Après c’est le vide qui sera sous les pieds du chef de l’état et il y tombera.

Frédéric Le Quer

Les derniers jours d’Emmanuel Macron débutent. Le système le lâche. Le Monde lui prête des propos homophobe et xénophobe, les deux mamelles de la disgrâce radicale. France Info par politesse, ils se sont tant aimés, emploie encore le futur qui sonne au présent, en laissant dire que « la question de la démission d’Emmanuel Macron se posera très rapidement ». Son impopularité…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *