Agressions sexuelles
Des simples incivilités aux vols, aux agressions sexuelles et aux meurtres, les migrants nous gratifient d’exploits dont on se passerait bien. Ce n’est d’autant pas près de s’arrêter qu’à la frontière italienne c’est open bar. Une décision du conseil d’état interdit dorénavant aux policiers de les refouler. L’Italie qui accueille déjà depuis Giorgia Meloni trois fois moins de migrants, est ravie. La population française pleure le je-m’en-foutisme de ses dirigeants et leur acharnement à procéder à son extinction.
Je ne puis résister à relayer l’article du journal “La dépêche”, journal situé du coté de la gauche macroniste, peu susceptible d’anti-immigrationnisme. Un migrant somalien hospitalisé a dévoilé plusieurs fois à deux infirmières l’érection irrépressible dont il était affublé. Fière comme Artaban, l’individu qui ne devait pas être si malade que ça, se masturbait au vu et au su du personnel hospitalier et demandait aux soignantes de venir participer aux fantaisies sexuelles qu’il avait en tête. Si l’intervention d’un soignant homme appelé à la rescousse des deux femmes le calma un moment, son manège reprit après son départ interpellant l’infirmière en anglais “Look, look, no problem”. Il fallut une poche de glace pour parvenir à le faire débander.
Son procès qui vient d’avoir lieu, s’est conclu par six mois de prison avec maintien en détention et trois ans d’interdiction du territoire. Si il reste deux mois en prison, on aura de la chance. Quant à son départ de France, c’est de la science-fiction.
Comment vivent ces gens? Est-ce qu’ils sautaient sur les femmes de leur village à leur convenance? Il est plus probable qu’ils pensent qu’ils peuvent se permettre ces agressions sexuelles dans un pays permissif qui n’est pas le leur. On avait vu ça, incrédules, à Cologne lors du nouvel an 2016. Huit ans plus tard, c’est en France monnaie courante.
Frédéric Le Quer
Des simples incivilités aux vols, aux agressions sexuelles et aux meurtres, les migrants nous gratifient d’exploits dont on se passerait bien. Ce n’est d’autant pas près de s’arrêter qu’à la frontière italienne c’est open bar. Une décision du conseil d’état interdit dorénavant aux policiers de les refouler. L’Italie qui accueille déjà depuis Giorgia Meloni trois fois moins de migrants, est…