Fight club

Des fight club d’extrême droite s’organisent dans les catacombes à Paris au milieu d’ossements humains. A Nice, des jeunes liés à la mouvance de l’extrême droite radicale organisent des combats libres dans des lieux publics à Cimiez ou sur la colline du Château. Des fight club à Toulouse entre collégiens où les chérubins se donnent des coups de poing, des coup de pied et se frappent à terre, ont défrayé la chronique au printemps dernier. A Lille, à l’entrée du parking de l’Ecole supérieure de journalisme, un groupe de 20 jeunes a organisé en plein jour un fight club. Aux Etats Unis on a même vu des puéricultrices organisées des fight club entre enfants!

Bref le fight club est tendance au sein d’une société qui s’ensauvage. Jusque là, curieusement, l’islam était peu représenté dans cette barbarie consentie préférant en découdre avec les représentants de l’état français. L’erreur est réparée. A Brest, au cœur de la ville submergée par l’immigration, pendant ce ramadan, un fight club appelé “mrengué” a vu combattre des garçons et des filles musulmans au son des tamtams à la manière de ce qui se fait à Mayotte. Les policiers ont tenté de disperser la foule à l’aide de gaz lacrymogène plus ou moins en vain. Pendant deux nuits les riverains n’ont pu dormir avant 3 heures du matin.

C’était le fait divers du jour auquel on pourrait ajouter une sacristie dégradée à Issy les Moulineaux, par exemple ou la colline du crack délocalisée de Paris à Orléans au grand dam du maire ou des opérations “place nette” dont l’inefficacité se démontre par le prix de la drogue qui ne cesse de baisser tant il y en a à vendre. Bref la France sombre. Des JO Potemkine vont probablement réussir à faire illusion. Mais le fruit est bien pourri après 5 ans de Hollande et 7 ans de Macron. 12 années pour détruire un pays. C’est rapide même si le ver était déjà là.

Frédéric Le Quer

Des fight club d’extrême droite s’organisent dans les catacombes à Paris au milieu d’ossements humains. A Nice, des jeunes liés à la mouvance de l’extrême droite radicale organisent des combats libres dans des lieux publics à Cimiez ou sur la colline du Château. Des fight club à Toulouse entre collégiens où les chérubins se donnent des coups de poing, des…

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