Proviseur en Francistan
L’affaire du proviseur du lysée Maurice Ravel menacé de mort pour avoir demandé à une élève d’ôter son voile reste en travers de la gorge du personnel de l’Education Nationale. Des proviseurs de la région parisienne étaient hier devant la Sorbonne, témoignaient et demandaient l’aide de l’état.
Témoigner et dénoncer l’agressivité des parents et des enfants, les fausses accusations d’islamophobies, ces fonctionnaires peuvent toujours le faire. Ils pissent dans un violon mais ce genre d’intellectuel aime discutailler. La plupart continuera à voter à gauche ou pour Emmanuel Macron, et concernant l’immigration islamique, ces votes sont les mêmes. Dans ces conditions, les menaces de mort non seulement vont continuer mais vont s’accentuer sous la pression du nombre. Les jours sont comptés pour nos soi-disant valeurs et pour la loi sur la laïcité à l’école. Notre réel est l’islamisation de la société.
Concernant l’aide de l’état, il ne faut pas y compter. Dans son for intérieur, Emmanuel Macron se fiche comme d’une guigne de la laïcité à l’école et des signes ostentatoires de religion. L’Union Européenne ne cesse d’ailleurs de promouvoir sur ses affiches le voile islamique et la religion musulmane. Sauf à laisser faire l’intrusion du religieux dans son établissement scolaire, il y a de quoi, pour un proviseur qui a une conscience professionnelle, aller au travail la peur au ventre. Le personnel de l’éducation nationale est seul et c’est bien pourquoi le recrutement est si difficile. Le risque d’être gravement blessé ou même tué par des parents ou leur entourage plus excités que les autres augmente chaque jour. Il faut se rassurer avec la légion d’honneur posthume et les belles funérailles à venir!
Mort pour la France, pays en voie de disparition.
Voilà la triste épitaphe qui attend beaucoup d’entre nous, enseignants ou autres. L’avenir est le Francistan. Nos dirigeants le veulent. L’Union Européenne le veut. Et plus de la moitié de la population ne semble toujours pas capable de voter pour le RN ou Reconquête. Même si ça a l’air de s’arranger un peu…
Frédéric Le Quer
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