Les vœux aux Français

A 20 heures, le 31 décembre 2023, les citoyens ont assisté aux vœux aux Français d’un président de la république si hors sol que la question de savoir s’il était sain d’esprit, se posait inéluctablement.

Les incendies se multiplient depuis qu’Emmanuel Macron est au pouvoir et le Néron de l’Elysée finit bien l’année. C’est cette fois un château du XVIIe siècle qui a disparu dans les flammes. Les forêts, les immeubles partent en cendres. La symbolique est profonde et terrible sur l’anéantissement de la France auquel le président s’attelle depuis 6 ans. Et il se vante de rebâtir une cathédrale alors que l’omerta règne sur les causes de la destruction de Notre Dame de Paris qui ne demandait rien à personne avant de brûler.

Emmanuel Macron ne bâtit ni ne rebâtit rien. C’est le grand exterminateur au lance flamme. Le roi du “celles et ceux” ose aussi se targuer de son rôle concernant l’aura de la langue française alors qu’il se complaît à ne parler qu’anglais dès qu’il sort de France. S’intéresse-t-il seulement au fait qu’une espèce de langue franco-arabo-wolof naît en banlieue et devient totalement incompréhensible pour un français? Ce bel exemple de partition linguistique est à mettre à son actif compte tenu du grand remplacement ou de la créolisation – c’est la même chose- qu’il promeut.

Ses vœux aux Français étaient le signe de sa schizophrénie qu’il nomme “en même temps”. Caligula aux petits pieds, il ruine la France avec un budget tous les ans plus insensé que celui de l’année précédente. Les français paieront des décennies son “quoi qu’il en coûte” et ses vaccins covid de plus en plus controversés. Il ose vanter le rebond de notre économie plus malade que jamais.

Malade comme nos hôpitaux, malade comme l’école publique, malade comme la police qui s’apprête à faire grève dans quelques jours, malade comme les services publics en voie de disparition dans nos campagnes, malade comme notre souveraineté nationale. “Je suis malade” gémit la France se rappelant d’une vieille chanson de Serge Lama. Et Emmanuel Macron se réjouit et se vante devant les français médusés.

Faut-il parler des drapeaux agglutinés, de l’arbre mort et de la nuit qui constituaient l’emballage télégénique de ses vœux aux Français? Oui, ce décor d’apocalypse était plus vrai qu’aucune des paroles prononcées par Emmanuel Macron. Il jaillissait de son inconscient tel un acte manqué et désignait l’horrible route dans laquelle nous étions tous, nous Français, engagés.

Frédéric Le Quer

A 20 heures, le 31 décembre 2023, les citoyens ont assisté aux vœux aux Français d’un président de la république si hors sol que la question de savoir s’il était sain d’esprit, se posait inéluctablement. Les incendies se multiplient depuis qu’Emmanuel Macron est au pouvoir et le Néron de l’Elysée finit bien l’année. C’est cette fois un château du XVIIe…

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