Les Biden
Dans “Face à l’info” l’émission de Christine Kelly sur Cnews, le journaliste Guillaume Bigot évoquait hier les Biden. C’était si hallucinant et l’affaire est si peu reprise par les médias qu’il est intéressant de se pencher sur cet éditorial épouvantable et angoissant autant parce qui y est dit et avéré, que parce qu’on peut imaginer qui reste tu.
Hunter Biden, fils de Joe Biden, a conclu un accord concernant sa culpabilité pour fraude fiscale et détention illégale d’armes. L’affaire est donc plus ou moins terminée mais il reste des faits terribles concernant cet homme et plus largement cette famille à coté desquels ce qui est reproché à Donald Trump est de la gnognotte.
Le 12 avril 2019 Hunter Biden dépose des ordinateurs chez un réparateur qu’il oublie de récupérer, ce qui dénote déjà son peu de sens des responsabilités. Devant l’énormité de ce qu’il découvre, le réparateur adresse le contenu des disques durs au FBI qui tait ce qu’on y voit. La dérive morale de Hunter Biden y est criante. Il aime à se prendre en photo dans des scènes les plus décadentes avec orgies et consommation de crack entre autres joyeusetés. Déchéance, dépravation, débauche montre une personne ayant perdu pied, peut-être – spéculation – suite au décès de sa mère dans un accident de voiture et de son frère, une sorte de mentor, mort d’un cancer du cerveau.
Voilà pour l’aspect vie privée qui choque aujourd’hui toute l’Amérique. Concernant l’aspect financier Hunter Biden ne perd pas tout à fait le nord. Les revenus tirés de sa société de gaz en Ukraine qu’il détient depuis 2014 et de sa société énergétique en Chine correspondent à des milliards de $. Ils ne sont pas déclarés et l’accord intervenu dédouane Hunter Biden qui a plaidé coupable.
On apprend dans les disques durs que 10% des gains reviennent au “Grand chef”, nom de code pouvant correspondre – spéculation, cependant – au vice président de l’époque aujourd’hui président, le père Joe Biden. On entend, sans l’ombre d’un doute sur les fameux disques durs toujours, Joe Biden faire pression sur Porochenko, le président ukrainien jusqu’en 2019 après qu’il ait soutenu les événements de Maidan, pour arranger les affaires de son fils en Ukraine afin que cet état, pas si souverain que ça, cesse d’y mettre son nez. La collusion au sein de la machine démocrate avec l’Ukraine est avérée.
Toutes les preuves sont étouffées bien que l’affaire sorte dans le New York Post, journal à la réputation douteuse, avant les élections présidentielles remportées par Joe Biden. Les éléments qui sont révélés, sont balayés d’un revers de main par la presse mainstream et le deep state américain qui parlent de complot des russes. Peut-être vous en souvenez-vous, mais la presse bien-pensante française avait repris bien sûr cet argument complètement faux de la machination de Poutine.
Drogue, dépravation sexuelle, corruption financière viennent étayer les affirmations russes et chinoises sur le relâchement inquiétant des mœurs occidentales. Cette histoire montre un peu plus encore la falsification de l’information qui nous est servie. Décidément les complotistes ne sont pas ceux qu’on croit!
Frédéric Le Quer
Articles similaires:
Dans “Face à l’info” l’émission de Christine Kelly sur Cnews, le journaliste Guillaume Bigot évoquait hier les Biden. C’était si hallucinant et l’affaire est si peu reprise par les médias qu’il est intéressant de se pencher sur cet éditorial épouvantable et angoissant autant parce qui y est dit et avéré, que parce qu’on peut imaginer qui reste tu. Hunter Biden,…